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"Dbibina" trace la limite entre liberté d'expression et félonie
Publié dans Barlamane le 13 - 11 - 2025

"Dbibina" observe ce qui se passe au Maroc et le compare avec les vidéos ou les écrits qui circulent sur le pays, faites par ces exilés volontaires que sont Jerando, Moumni, Lfercha, Raissouni et d'autres encore. Il constate que plus le Maroc avance et réalise des succès, et plus ces types augmentent leurs insultes et leurs outrances.
Dernier succès en date, et quel succès, la résolution 2797 qui fait beaucoup avancer la question du Sahara marocain. "Dbibina" relève que cette situation exceptionnelle, où le Roi a fait un discours spécial et où les Marocains sont sortis en masse célébrer ce succès, a énervé ces gens qui se disent opposants mais qui sont en train de devenir des traîtres. "Dbibina" hésite un peu sur le mot «traître» mais n'en trouve pas d'autres pour qualifier les propos tenus par tous ces types.
Mais honnêtement, se dit "Dbibina", qui les écoute encore ces renégats ? Les Marocains, fiers de leur pays et de ses réalisations, commencent à réagir à ces insultes quotidiennes, et même plusieurs fois par jour. Donc oui, c'est des traîtres.
Tiens, prenons Zakaria Boum-ni par exemple... alors lui, il n'y va pas par quatre chemins, comme on dit. Il vient, hurlant comme à son habitude, mais ce qu'il dit sidère "Dbibina" : «le Sahara n'est pas marocain, point barre !» ; «les séparatistes ont raison et je les soutiens !» Et son argument est très puissant, puisqu'il consiste à dire que l'histoire ne sert à rien. "Dbibina" rigole en retenant sa rage, surtout quand Boum-ni donne raison aux séparatistes de Tindouf ! Ici, au Maroc, pense "Dbibina", ce n'est pas de la liberté d'expression, c'est de la trahison, de la félonie. Et avec une vulgarité nauséabonde, faite d'insultes et de blasphèmes.

"Dbibina" pense au cas de cet escroc plusieurs fois condamné, qui nourrit depuis plusieurs années une haine pour le Maroc et ses institutions, du palais royal à la famille de la sûreté nationale. À l'entendre parler, on comprend tout de suite que quelque chose ne va pas chez Boum-ni. Mais là, avec ce qu'il a dit sur le Sahara et les Sahraouis de Tindouf, ce n'est plus de la folie, c'est un contrat. Avec qui ? Là est la question, mais "Dbibina" a une petite idée. Puisque Jerando a reçu plus de cinq millions de dirhams d'un général algérien et qu'il le dit clairement dans un enregistrement téléphonique révélé par Youssef Zerouali, alors "Dbibina" est maintenant sûr que Boum-ni aussi a dû recevoir de l'argent de la même source. De la trahison, et de la pire espèce.
Et il ne se contente pas de cela, car il reprend un discours qui rappelle celui des généraux algériens sur le Makhzen : pour lui, Boum-ni, professeur de science politique, «il faut changer les institutions au Maroc, et même changer de régime politique». Et pour quelle raison ? "Dbibina" essaie de comprendre, mais n'y parvient pas.
Et Boum-ni n'est vraiment pas le seul à se trouver dans le cas de ces condamnés — chacun pour un motif différent — qui nourrissent de la haine envers tout le monde au Maroc et qui, au lieu de se regarder en face et de se dire qu'ils n'ont eu que ce qu'ils méritaient, déversent leurs insultes et vomissent leur ressentiment sur leur pays. Et en le trahissant sans la moindre gêne, au besoin.
Avec Boum-ni, il y a donc quantité d'autres de ces escrocs qui déversent leur haine sur le Maroc, comme le violeur homo Soulaymane Raissouni. Lui, il attaque le pays et ses institutions en les accusant «d'avoir tué directement ou indirectement le militant pro-palestinien Sion Assidon». Et la raison serait, selon lui, dans la relation du Maroc avec l'Etat d'Israël.
Raissouni ou Boum-ni, tous deux condamnés, tous deux auto-exilés, ont quitté le Maroc pour aller à l'étranger dire toutes les horreurs qu'ils veulent sur leur pays. Au début, les gens les suivaient et les écoutaient, mais avec le temps, tout le monde a compris que ces deux-là, par exemple, ne cherchent même pas l'argent ni la célébrité. Ils attaquent pour trahir, ils vocifèrent dans leurs vidéos ou sur leurs articles Facebook pour assouvir leur haine. "Dbibina" a réellement pitié d'eux.

Et bien sûr, dans sa tournée des salopards, "Dbibina" va jeter un coup d'œil aux «œuvres» de l'ancien et futur prisonnier Hicham Jerando. Le «maskhout mou» comme on l'appelle désormais, lui qui a envoyé toute sa famille en prison, continue de racketter et d'insulter copieusement tout ce qui se fait au Maroc. Il en devient lassant : des insultes, des injures et de la diffamation. Mais il est payé pour cela, parce qu'il existe cet enregistrement audio où il dit clairement «qu'un général algérien est venu à son bureau à Montréal et lui a offert plus de cinq cent millions pour attaquer le Maroc et ses institutions».
"Dbibina" remarque que, pour ces trois types qui représentent bien les autres vidéastes, les vues baissent de mois en mois, parce que les gens en ont assez. «Les problèmes au Maroc, il y en a bien sûr», pense "Dbibina", «mais on gère : le Maroc remporte un Mondial, puis un succès éclatant à l'ONU pour son Sahara ; et quand il y a des manifestations et des gens qui réclament, ils sont écoutés et les autorités essaient de faire le travail».
Mais à entendre les Jerando, Boum-ni, Raissouni, «au Maroc, c'est l'enfer». C'est eux, l'enfer. Qu'ils y aillent !


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