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Ouahbi : On a besoin de 20 milliards de dollars pour appliquer notre programme
Mohammed Taleb
Publié dans
Hespress
le 30 - 08 - 2021
« Afin de réaliser un taux de croissance de 6% et créer 800.000 emplois, nous aurons besoin d'apporter 20 milliards de dollars », a affirmé lundi soir le Secrétaire général du Parti Authenticité et Modernité (PAM), Abdellatif Ouahbi.
Invité de l'émission-débat d'Hespress, « La voie vers les élections de 2021 », le SG du PAM a promis monts et merveilles en étalant le programme économique du parti du Tracteur.
Interpellé sur les mesures concrètes pouvant permettre l'engagement du PAM de réaliser un taux de croissance de l'économie nationale de 6% et la création de 800.000 emplois, Abdellatif Ouahbi a expliqué la recette du PAM pour la réalisation de ces ambitieux objectifs.
À propos du très ambitieux objectif en matière de croissance économique, que le Maroc n'a pas réalisé depuis, faut-il le rappeler, le gouvernement Jettou, Ouahbi a affirmé qu'il a « la conviction que sans atteindre 6% comme taux de croissance on ne peut pas lutter contre le chômage ».
Admettant que « ce n'est pas facile » à mettre en place, Ouahbi a déclaré ne pas avoir peur de relever le défi. Un défi qui, pourtant nécessite selon ses affirmations, de relever un autre. Celui d'apporter la somme colossale de 20 milliards de dirhams.
Sans 20 milliards $, on n'aura pas 6% de croissance
« Les questions économiques ne sont pas faciles. Nous avons accepté le défi. Pour ce faire, nous aurons besoin de préparer 20 milliards de dollars », a-t-il dit.
A la question du comment faire et selon quelles modalités va-t-on apporter ces milliards, Ouahbi a indiqué qu'il s'agirait « d'emprunts, des partenariats, des investissements et d'autre chose… ». « Si l'on n'arrive pas à avoir ces 20 milliards, nous ne pouvons pas atteindre 6% », a-t-il mis en avant.
De son point de vue, le Maroc a, selon ses dires, « un problème de dilapidation administrative de l'argent public ». « Nous avons plusieurs institutions qui gaspillent de l'argent, nous avons d'autres fuites d'argent qu'on doit remettre en cause pour baisser les dépenses de fonctionnement et mettre plus de budgets dans l'investissement », a-t-il expliqué en notant qu'il s'agit d' « un élément important de l'analyse du PAM de la chose économique ».
© Hespress
Outre la rationalisation des dépenses qui constitue le premier élément de la recette du PAM pour redynamiser la croissance, Ouahbi a mis en exergue le deuxième élément en relation avec l'investissement.
« Nous allons nous ouvrir sur l'investissement international. Jusqu'à présent nous n'avons pas profité des investissements directs étrangers (IDE) des pays du Golfe depuis dix ans. Les IDE que nous avons drainé des pays du Golfe restent très modestes », croit savoir le SG du PAM.
Ouahbi, l'optimiste
Pour lui, « le moment est venu pour qu'on parte ouvrir ce débat avec le capital du golfe parce que l'Europe souffre d'une crise de capitaux. Ils n'ont rien à nous offrir ». Et d'ajouter : « A présent les Européens peuvent offrir de l'expérience, des produits qu'ils ont, leur savoir-faire, mais pas du tout des fonds pour investir ».
La recette, le chemin du salut pour obtenir le Graal serait, soutient-il, de « pouvoir concilier le savoir-faire industriel européen et le capital des pays du Golfe ». « Dans ce cas, nous aurions réalisé un véritable mutation », pronostique Ouahbi.
« Le Maroc a des capacités énormes malgré tout. N'oublions pas que toutes les réalisations de la première décade dont les autoroutes et le port de
Tanger
Med, etc. ont été faites avec nos propres moyens », a-t-il dit, ajoutant : « Il ne faut pas se leurrer et croire que nous avons ramené de l'argent de l'extérieur. Et pourtant, nous avons mis en place de grands chantiers », a-t-il encore dit.
« Je ne sais pas pourquoi cette dynamique s'est arrêtée », s'est-il interrogé. « Je crois que le moment est venu pour donner une chance au capital, baisser la pression administrative et simplifier les procédures ».
Interpellé sur la dangerosité de l'endettement, Ouahbi a répliqué : « Ce qui est dangereux, c'est d'emprunter sans investir. Mais si l'on investit les fonds empruntés, on aura de l'aisance pour rembourser. Ne soyez pas pessimistes. »
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