Les habitants du centre de la ville de Casablanca ainsi que les riverains du port de la capitale économique ont remarqué une absence des bateaux de plaisance qui avaient l'habitude d'accoster aux quais de la porte n°1. Crise mondiale oblige, il y avait pourtant chaque jour un bateau transportant des touristes qui, après escale, remplissent par groupes les enceintes du marché central et la grande mosquée Hassan II.
