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Hanane Hachimi, des projets plein la tête
Publié dans Le Soir Echos le 26 - 04 - 2010


 
Hanane Hachimi vient de faire une proposition de reportage à l'émission «les infiltrés» sur France 2. L'occasion de revenir sur la carrière de cette journaliste rendue célèbre à travers son enquête sur le trafic des nouveau-nés.
 
Les anges ne sont pas à vendre. Avec cette enquête diffusée le 7 janvier 2010 à l'émission «45 minutes» sur Al Oula, Hanane Hachimi a eu du succès. Son téléphone n'a pas arrêté de sonner. Tout le monde voulait parler de celle qui a dénoncé un réseau de trafic de bébés à Casablanca. Même si elle a réalisé d'autres enquêtes, ce reportage lui restera collé à la peau. «Quand on évoque Hanane Hachimi on pense automatiquement à cette enquête sur le trafic d'enfants et au fait que la police a pu démanteler ce réseau grâce à ce reportage», souligne un journaliste ayant souhaité garder l'anonymat. En plus des félicitations de ses confrères de la presse, Hanane Hachimi a aussi bénéficié d'une reconnaissance auprès du Concours Noujoum Bladi qui récompense les meilleures productions télé. Son enquête a été sacrée dans la catégorie meilleur documentaire. Cette journaliste a postulé, toujours avec ce même reportage, au «Prix de Marseille» du CNC et au Prix de l'UNICEF. 
Pour la dernière enquête à l'émission «45 minutes», Hanane Hachimi s'est fait passer pour une femme atteinte de cancer. Tout cela pour révéler des actions de charlatanisme.
Pour sa dernière enquête à l'émission «45 minutes», Hanane Hachimi s'est fait passer pour une femme atteinte de cancer. Tout cela pour révéler des actions de charlatanisme sous prétexte de soigner grâce à la médecine traditionnelle. «Je me suis rendue chez cette femme qui présume soigner le cancer avec la médecine traditionnelle, c'est effarant», témoigne la journaliste dans des propos au Soir échos. Actuellement, elle vient de faire une proposition de reportage pour l'émission «les infiltrés» sur France 2. Elle travaille également pour le compte de France 24. Pour Hanane Hachimi, c'est un avantage d'être journaliste freelance. «J'aime être libre», confie-t-elle avant d'ajouter : «On m'a proposé d'être salariée à plein temps dans une télé, mais j'ai refusé». C'est un choix et elle l'assume. Il faut dire que ce choix lui permet de travailler avec plusieurs personnes différentes, plusieurs boîtes de production et puis aussi de faire des études en parallèle. Hanane Hachimi fait des études en réalisation à l'Institut supérieur des métiers de l'image en France. «C'est ma troisième année, j'aurais bientôt fini et étant donné que ce sont des modules, cela me laisse entièrement le temps de vaquer à d'autres occupations et de me consacrer librement à mon métier», lance la journaliste. Si Hanane Hachimi a opéré un virage dans sa carrière et a quitté la presse écrite pour la télévision c'est tout simplement parce qu'elle est convaincue que l'image transmet mieux la réalité sur le terrain et qu'elle a l'avantage d'émouvoir. «Il y a des images très frappantes dans la vie et on ne peut pas vraiment les illustrer telles quelles à travers un article, c'est pour cette raison que j'ai décidé de me lancer dans ce créneau».
Ses premiers pas
Hanane Hachimi a fait ses premiers pas dans la presse écrite dans le magazine Nissae Mina Al Maghrib du groupe Caractères. C'était en 2001. L'expérience va durer trois mois. Par la suite, la journaliste débarque à la Gazette du Maroc du groupe Kamal Lahlou. La proposition viendra de Jamal Berraoui, son mentor. Elle va ainsi intégrer le magazine Al Hadath. Suivra un autre passage au quotidien Maroc Ouest avant de se lancer dans la réalisation de reportages télé. Ousar Oua Houloul et Aji Tchouf font partie des émissions où elle a collaboré.


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