Les recettes non fiscales se sont établies à 807 MDH, en baisse de 23,6% par rapport à leur niveau de février 2013, en raison de la baisse des fonds de concours, des recettes de monopole et de la redevance gazoduc. Les recettes des monopoles et participations ont été de 42 MDH à fin février 2014 contre 73 MDH un an auparavant. Ces recettes proviennent de Bank Al- Maghrib. Les autres recettes non fiscales ont enregistré une baisse de 21,8% qui s'explique pour l'essentiel par la diminution des fonds de concours (57 MDH contre 165 MDH) et de la redevance gazoduc (413 MDH contre 423 MDH). Structure des recettes ordinaires A fin février 2014, les dix principales natures de recettes ci-après représentent 98,4% du total des recettes ordinaires. Avec des recettes de 8,9 MMDH, la TVA constitue la première source des recettes du budget de l'Etat. A fin février 2014, le taux de couverture des dépenses ordinaires par les recettes ordinaires n'a été que de 75,8% contre 73 ,5% un an auparavant. Ainsi, à fin février 2014, 69,4% de ces recettes ont été consacrées aux dépenses de personnel, 12,1% aux dépenses de la compensation et 12,8% aux charges en intérêts de la dette. Ainsi, une partie des dépenses ordinaires émises et la totalité des dépenses d'investissement émises ont été financées principalement par le recours à l'emprunt.