Nombreux sont les sénateurs américains qui appellent à transférer le siège de l'AFRICOM au Maroc. Une idée réalisable mais aux conséquences géopolitiques majeures, selon des experts consultés par « L'Opinion ». Détails.
Fini le temps où le puissant (...)
Le Maroc est "un partenaire et grand allié" des Etats-Unis et un pays stable dans un continent et une région en quête de stabilité, a affirmé, dimanche à Rabat, le Chef d'Etat-Major des Armées des Etats-Unis d'Amérique, le Général d'Armée Mark (...)
Voici les principaux titres développés par la presse nationale de ce vendredi 15 mai 2020
L'Economiste
RAM : 50 millions de DH de pertes par jour ! Royal Air Maroc perd 50 millions de DH par jour ! Ce sont là les pertes quotidiennes de la compagnie (...)
A l'aube du XXIe siècle, la fin de la guerre froide, les événements du 11 septembre 2001, la globalisation rampante, sont autant d'événements, qui ont sonné le glas avec la percussion des derniers tambours annonçant l'achèvement d'un système (...)
Le monde arabe gardera certainement en mémoire le discours de Barack Obama, prononcé depuis le bureau ovale, quelques heures à peine après la démission de Hosni Moubarak, le vendredi 11 janvier 2011: «Comme Martin Luther King a dit (…), il y a (...)
Deux jours plus tard la ministre des Affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, proposait l'aide policière de la France pour assurer le retour au calme. Ce n'est qu'après la fuite de Ben Ali que Paris s'est réveillé et s'est rappelé "sa vocation à (...)
Ahmed CHARAI
Les éléments de démocratie ont toujours existé au Maroc depuis l'indépendance. Cependant, de graves distorsions existaient, en particulier des violations des droits de l'homme, la limitation de la liberté d'expression et la (...)
La majorité des rapports établis ces six derniers mois par les plus sérieux centres d'études stratégiques en Occident, s'accordent à affirmer que la région du Moyen-Orient va tout droit vers l'explosion. Pour ce qui est du Maghreb, en revanche, le (...)
Discours de George W. Bush
Dans son 4ème discours annuel sur la double situation, interne et externe, George Bush a été moins agressif que d'habitude. S'il n'a utilisé le mot "ennemi" qu'une seule fois pour désigner Al-Qaïda, il a, par contre, (...)