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Le PPS s'est toujours montré une entité politique altruiste et féconde!
Saoudi El Amalki à Taroudant
Publié dans Albayane le 04 - 08 - 2013

Saoudi El Amalki à Taroudant
La section provinciale de Taroudant a ponctué, jeudi dernier dans la soirée, sa série d'activités par l'exposé présenté à l'assistance par Saoudi El Amalki, membre du comité central et secrétaire de la section régionale Souss Massa Drâa du PPS. Cette rencontre qui s'insère dans le programme varié mis en
action par la direction nationale, en commémoration du 70ème anniversaire de la création du parti, était articulée autour de la présente situation du champ politique et les derniers développements du gouvernement dont le PPS fait partie.
Dans sa communication préliminaire, l'intervenant a fait un tour d'horizon des différentes phases du paysage politique national, à commencer par l'alternance qui inaugurait, en 1998, une nouvelle dynamique en termes de gestion publique par l'adhésion du mouvement national, en diapason avec la monarchie afin de mettre en place une génération de réformes d'ordre institutionnel, socio économique et culturel. Il faut bien dire qu'en dépit de certains dérapages et retards enregistrés par ci, par là dans cette nouvelle expérience, cet entrain synergétique, poursuit le conférencier, s'est soldé par des performances d'envergure dans ces divers axes qui, nécessitaient, en fait, davantage de générations de réalisations, en vue de maintenir ces acquis et en entamer d'autres. L'année 2011 a constitué dans ce sillage, souligne-t-il, un tournant décisif, puisque, bouillonnements de la rue aidant, la nation en est sortie grandie, à l'indifférence de nombre de ses semblables avoisinants qui en ont laissé des plumes. La poursuite des réformes, confortée par la nouvelle constitution et consolidée par la même volonté symbiotique, enchaine-t-il, était inéluctable, d'autant plus que les dernières échéances électorales traduisaient, bel et bien, à quelques dysfonctionnements près, cette préoccupation de mettre un terme à la fausseté des résultats des urnes, par l'implication systématique du pouvoir dans la composition de la carte politique. Cependant, il s'avère bien que la mentalité du phénomène «leaderschip », précise Saoudi El Amalki, persiste encore et tend à reléguer l'intérêt suprême au second plan pour son propre compte.
Cette attitude égocentrique n'est pas, en effet, rappelle-t-il, chose inédite, mais elle récidive, à chaque fois que certains acteurs politiques en ressentent le besoin de réactivité hégémonique.
Contrairement à cette versalité comportementale, note-t-il, le PPS a, tout temps, priorisé le devoir national, honoré ses engagements, respecté ses alliances quoique parfois contre-nature, jouer le rôle de médiateur pour apaiser les « appétits » de convoitise démesurée, prôner une politique de réalisme, de pondération et de pragmatisme.
Cette conduite mature et altruiste, sanctionnée par une autonomie décisionnelle infaillible, que le parti s'est forgée, des décennies durant, lui a constamment occasionné des réactions « grincheuses » de la part de ses proches alliés, voire des tentatives d'exclusion et d'extermination. Et ce n'est guère les exemples qui manquent à ce propos ! Par ailleurs, l'intervenant considère que ce comportement vindicatif ne fait que renforcer les convictions inébranlables du parti, car rien ne saurait occulter ni affecter tout ce legs national généreux de longue date dont le pays se sert en perpétuité, précisément lors des moments délicats, pendant que les autres cherchent exclusivement à redorer leur blason réducteur. Cette période d'expectative que le Maroc traverse actuellement, après le désengagement de l'un des constituantes de la majorité pour les mêmes calculs d'antan, ne pourrait, en aucun cas, altérer la dynamique des grands chantiers ouverts en concertation nationale que nulle dérobade unilatérale ne saurait avorter. La petite brèche des uns, passée inaperçue, sera vite colmatée par des nouvelles tractations, menée tambours battants, pour une nouvelle majorité et un nouveau parcours, jouissant, du coup, de l'acquiescement du souverain, lors du dernier discours. En guise de conclusion, l'orateur a exhorté l'audience de se mobiliser pour se préparer aux prochaines consultations, en parfairant l'outil artisan de nature à s'harmoniser avec le rayonnement politique du parti dont les retombées sont judicieuses pour la stabilité et la prospérité du pays, loin de toute voracité accaparante et de tout chahut perturbateur es quoique parfois contre-nature, jouer le rôle de médiateur pour apaiser les « appétits » de convoitise démesurée, prôner une politique de réalisme, de pondération et de pragmatisme. Cette conduite mature et altruiste, sanctionnée par une autonomie décisionnelle infaillible, que le parti s'est forgée, des décennies durant, lui a constamment occasionné des réactions « grincheuses » de la part de ses proches alliés, voire des tentatives d'exclusion et d'extermination. Et ce n'est guère les exemples qui manquent à ce propos ! Par ailleurs, l'intervenant considère que ce comportement vindicatif ne fait que renforcer les convictions inébranlables du parti, car rien ne saurait occulter ni affecter tout ce legs national généreux de longue date dont le pays se sert en perpétuité, précisément lors des moments délicats, pendant que les autres cherchent exclusivement à redorer leur blason réducteur.
Cette période d'expectative que le Maroc traverse actuellement, après le désengagement de l'un des constituantes de la majorité pour les mêmes calculs d'antan, ne pourrait, en aucun cas, altérer la dynamique des grands chantiers ouverts en concertation nationale que nulle dérobade unilatérale ne saurait avorter. La petite brèche des uns, passée inaperçue, sera vite colmatée par des nouvelles tractations, menée tambours battants, pour une nouvelle majorité et un nouveau parcours, jouissant, du coup, de acquiescement du souverain, lors du dernier discours. En guise de conclusion, l'orateur a exhorté l'audience de se mobiliser pour se préparer aux prochaines consultations, en parfairant l'outil artisan de nature à s'harmoniser avec le rayonnement politique du parti dont les retombées sont judicieuses pour la stabilité et la prospérité du pays, loin de toute voracité accaparante et de tout chahut perturbateur.


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