La diplomatie marocaine vit aujourd'hui un tournant historique majeur, alors que le Conseil de sécurité des Nations unies s'apprête à adopter une nouvelle résolution confirmant, sans la moindre ambiguïté, que l'initiative marocaine d'autonomie, présentée en 2007, constitue la seule solution réaliste et définitive au dossier du Sahara marocain. Cette position onusienne ferme met un terme au rêve séparatiste que l'Algérie finance et alimente depuis des décennies dans l'espoir illusoire de diviser le Maroc et d'ébranler sa stabilité. Le texte à adopter par le Conseil de sécurité réaffirme le langage de la réalisme politique au sein de l'organisation internationale. Il insiste sur la nécessité d'une solution « réaliste, durable et mutuellement acceptable », formule qui correspond parfaitement à la proposition marocaine, largement soutenue par les grandes puissances, notamment les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni. Face à cela, l'Algérie se retrouve aujourd'hui isolée diplomatiquement comme jamais auparavant. Après avoir englouti des sommes colossales — estimées à des centaines de milliards de dollars — pour soutenir le mouvement séparatiste du Polisario, Alger ne récolte que des revers. Des années de propagande et de campagnes hostiles contre le Maroc n'ont pas réussi à altérer la position de la communauté internationale, qui reconnaît désormais que tout règlement en dehors de la souveraineté marocaine est voué à l'échec. Les évolutions récentes des positions internationales, en Afrique, en Europe comme en Amérique latine, témoignent de la pertinence de la démarche marocaine fondée sur le réalisme, la stabilité et le développement. Le Royaume, au-delà de la défense diplomatique de son intégrité territoriale, a concrétisé sa vision sur le terrain à travers de vastes projets économiques et sociaux dans ses provinces du Sud, transformant le Sahara en un modèle de développement durable et d'ouverture régionale. Tandis que les Marocains célèbrent cette victoire diplomatique, le régime algérien fait face à l'amère réalité de son échec. Son pari sur un projet séparatiste s'effondre, vidé de toute substance. Aujourd'hui, les Nations unies parlent un langage clair et marocain : l'autonomie sous souveraineté marocaine est la seule voie possible. Avec cette résolution, les illusions du séparatisme sont définitivement enterrées. Elle consacre la souveraineté pleine et entière du Maroc sur ses provinces du Sud, consacrant ainsi une nouvelle victoire pour la vision du Roi Mohammed VI, alliant fermeté dans la défense des principes et sagesse dans la diplomatie. Le Sahara n'est plus un dossier de conflit, mais un symbole vivant de l'unité nationale marocaine.
