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Quand l'AMDH dénonce la victime auprès de son présumé bourreau
Publié dans Barlamane le 30 - 07 - 2020

On savait que depuis qu'elle est dominée par Annahj Addimocrati, un parti gauchiste, l'association marocaine pour la défense des droits de l'homme (AMDH) a abandonné sa mission humanitaire au profit d'une mission politique d'opposition systématique au régime.
Elle est, pour ainsi dire, preneuse de toutes les affaires de nature à gêner le régime ou à le mettre à mal. On se rappelle qu'elle avait soutenu, avec force et sans réserve, Bouchta Charef lorsqu'il prétendait avoir été torturé dans les locaux de la police, avant de se rétracter quelques années plus tard et demander pardon aux services de la police qu'il avait accusés injustement. Plus récemment, il avait pris fait et cause pour Maati Mounjib, poursuivi pour évasion fiscale et dilapidation des fonds financiers que son association recevait de l'étranger. Elle s'est distinguée honteusement par son soutien inconditionnel au journaliste Tawfik Bouachrine accusé de viol et d'abus sexuels par plusieurs femmes, refusant d'auditionner les victimes comme l'exigent l'éthique et la déontologie. Tout comme elle a pris parti pour Slimane Rissouni, accusé d'abus sexuels sur un jeune que l'AMDH refuse toujours d'auditionner malgré les preuves qu'il a avancées aux enquêteurs. Les listes des dérives de l'association de Khadija Riadi et consorts est longue, très longue. Tout cela le commun des mortels le savait.
Ce que l'on ignorait par contre, c'est que l'AMDH est prête à jouer n'importe quel rôle, et accomplir toutes les sales besognes possibles, y compris celle de mouchard, de « bergag », pourvu que l'image du Maroc et la réputation des autorités marocaines soient traînées dans boue.
En effet, une journaliste (H.B) vient de se plaindre auprès de l'AMDH du journaliste Omar Radi qu'elle accuse de l'avoir violée. Et au lieu de la soutenir ou au moins ouvrir une enquête, l'AMDH s'est drapée dans l'habit du mouchard en informant le présumé violeur du contenu de ladite plainte, bafouant ainsi les principes élémentaires qui devraient guider le travail d'une ONG humanitaire. Quelle crédibilité reste-t-il à l'AMDH quand elle dénonce la victime à son présumé bourreau?
Omar Radi affirme avoir été mis au courant par ses amis de l'AMDH samedi dernier et crie au complot. Si vraiment il n'a rien à se reprocher, pourquoi diable a-t-il attendu mardi, soit trois jours plus tard, pour porter à la connaissance de l'opinion publique ce qui « se tramait » contre lui ?
A force de s'entêter à vouloir innocenter coûte que coûte ses membres et ses proches, l'AMdH, dont l'image s'érode au file du temps, perd, avec le cas Omar Radi, le peu de crédit qui lui restait auprès de l'opinion nationale et internationale, et surtout auprès de ses donateurs étrangers.


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