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Fouad Mourtada : Le procès d'un fantasme !
Publié dans Jeunes du Maroc le 26 - 02 - 2008

Je m'appelle Fouad, je naquis il y a 26 ans dans le plus beau pays du monde !
Comme tout citoyen du monde, j'ouvrai mes yeux sur des grands qui me racontèrent des fables : Petit chaperon rouge, Blanche neige, Alice au pays des merveilles, … une de ces histoires fabuleuses retint vivement mon attention : Cendrillon.
Tout jeune, je connus le chemin de l'école. On m'apprit que pour être quelqu'un, il faut faire des études. Issu d'une famille appartenant à une culture arabo-musulmane, on m'apprit que la tentation est strictement interdite. Comment, je ne comprenais rien à cet age, et je fus convaincu qu'il fallait se soumettre à la règle.
Je connus une adolescence normale, comme tout humain, je fantasma ! Transgressant toutes les restrictions, je rêvais de cendrillon, cette charmante petite fille frustrée, comme moi en réalité. Le sort et la nature ne fussent pas clément à mon égard : je ne suis pas une beauté, la nature fut mon farouche adversaire, … je ne suis pas celui dont rêve toutes les Cendrillons du monde. Et là, j'entendis ma mère dire : Quand un homme devient important, tout le monde veut se rapprocher de lui. Confus de nature, je retins l'histoire du prince et de Cendrillon. Je m'efforça à être brillant dans mes études pour réaliser mon rêve, mon fantasme.
Je réussis à devenir celui que ma mère souhaitait, un ingénieur. Je croyais qu'avec mon salaire, mon statut social, … je pouvais réussir à concrétiser mon rêve, celui de séduire Cendrillon. L'ascenseur que je croyais prendre ne me menait que vers un étage plus haut que mes semblables. Je refusais d'être dans la mouvance du conservatisme latent, celle de renier à la tentation, au fantasme, …sans pour autant afficher que je suis de ceux qui pensent progresser les choses, ou abolir les idées reçus. Je suis un homme ordinaire.
Ingénieur de mon Etat, je décroche mon premier job, dont le salaire comptabilise au moins 4 fois le salaire minimum légal. Je suis frustré. Mon ascenseur ne me permet pas de dépasser mon handicap structurel : mon éducation, mon effacement, mon complexe, … Des gens sans mérite, sans culture, sans effort, roulant sur des Cayennes, des Ferraris, … sublimaient mes Cendrillon. Je ne cède jamais au désespoir, j'apprends par cœur l'histoire de Cendrillon. Je m'invente celui que Cendrillon rêve de croiser, et le fait dans mon fantasme. Je m'invente prince !
Et là je découvre un canal pour exprimer mon fantasme : internet. Ce dernier autorise le rêve, permet de fantasmer. Je me fais prince pour plaire à Cendrillon.
Un jour, des gens costaux débarquent chez moi, il ne veulent plus que je rêve, il ne veulent pas que Cendrillon tombe amoureuse de moi, simple homme sans espoir, fils du peuple, … il veulent que j'arrête de rêver !
Que le prince, le vrai, m'excuse si je lui ai jalousé son statut, mais je suis dans mon plein droit de rêver !
Qu'ils me mettent en tôle, qu'ils m'ôtent ma liberté, ... ils ne pourront jamais m'empêcher de ... rêver !
Mounir BENSALAH
DEMANDE DE CLÉMENCE DU PRINCE FACE A LA MÉPRISE DU JEUNE MOURTADA
SOLLICITATION A SAR LE PRINCE MOULAY RACHID
POUR EN FINIR AVEC CETTE FACHEUSE ERREUR DE MOURTADA !
SOLLICITATION A SAR MY RACHID POUR PARDONNER L'ERREUR DE MOURTADA
Dans ce procès, présenté comme burlesque, il n'a y pas assez de contenance ni de convictions matérielles sur les intentions. On ne perçoit pas d'abus de confiance ni de manipulation, ni escroquerie, matérielle de la part de l'histrion, sachant que la personne physique de l'illustre Prince est trop connue dans le monde, pour servir d'acte de piraterie élémentaire ni de haut fait de falsification.
Dans cette affairette, rien de pénalement préjudiciable, que du ludique innocent, que du virtuel, inexploitable pécuniairement, rien de palpable en dehors, bien entendu, du respect indu au Prince, qui ne semble pas avoir été affecté ! On pourrait même croire, que jeune lui-même, My Rachid se soit amusé, tant de l'acte « perpétré », que des dimensions surréelles qui lui ont été réservées. On en vient à réfléchir sur une administration ombrageuse, sujette à des réformes ! Parfois tatillonne, marquée par des retards inopportuns ou intéressés, sinon victime d'empressements ou de déférences, qu'on ne lui demande pas, mais qui lui portent préjudice !
Donc, aucune raison pour mériter d'humilier le Maroc ni la Justice marocaine, par cette invasion médiatique hystérique sur le Web et les essaims des médias qui se sont faits des premières pages vendeuses, sur son dos ! Certains sont là pour faire dans le sensationnel et l'ingérence, les scoops exotiques, patauger de leurs caméras dans les alcôves et leurs plumes dans les secrets du royaume…Ou remuer dans ses affaires, qu'ils espèrent devenir de sales affaires ! Le journalisme doctrinaire, devient promoteur, faiseur d'événements et d'opinions. Des faits ou des intentions, des mots, qu'il catabolise et exprime pour sa propre existence. Créer l'événement, le produire, le médiatiser pour le vendre. Ouroboros, le serpent qui se mord la queue, passe sur la première !
Il faut arrêter le délire médiatique et la foire du Net. Nos valeurs démocratiques et notre contenance politique, se perdent devant tant d'ingérences, pour un fétu de paille ! Une plaisanterie, sans plus ! Vaine, venue d'un illustre inconnu. De Fouad Mourtada, un jeune roturier, n'en faisons pas un champion médiatique ! Ni un martyr de l'ignorance, des excès, des dérives ou des dépassements des fonctionnaires.
On donne l'impression d'avoir donné une occasion rêvée aux détracteurs du pays et de sa gouvernance, pour prendre leurs plumes et nous harceler, par ONG interposées. Nos opposants, radieux ne profèrent pas que des gentillesses, tant que la démesure est aux antipodes, opposant le faible, l'ignare au Prince, l'aisance, la hauteur et le savoir !
Dans cet imbroglio, parti de rien, tout semble porté à la perfection maniaque et fait à la loupe ! Or cette méthodologie, inquisitrice, ignorante des jeux du Web, a tendance à faire grossir les choses et à amplifier les détails. Pourtant, malgré la force du bon droit de chacun et le droit à la loi, même quand il s'agit du Prince, on semble avoir agi, paradoxalement. Au lieu de servir le Prince on le dessert. Pernicieusement, on fait une caricature de la justice, bonne pour écrire un fabliau ! Pendant que des affaires vitales nous attendent, nous guettent et que des actes odieux allaient être commis dans le pays !
Carrément, on tombe dans le panneau. On est en train de verser dans le sens espéré des nihilistes et des détracteurs de la politique générale du royaume. Bien, gauchement, à en croire les sympathies exprimées ça et là, et le tollé soulevé par les signataires, souvent anonymes, des pétitions bloggeuses qui fleurissent sur le NET . La perversité était attendue au virage. La finalité n'est pas le bonhomme en soi. Le but qui se devine chez ce panel d'objecteurs est d'apostropher le Maroc, d'humilier ses régisseurs, petits et grands, et, de réprimander ses sécuritaires, ses Gouvernants et sa Justice. Et c'est justement ce qu'l nous faut freiner et éviter !
Avec certains, médias qui veulent se faire un nom existentiel, une clientèle et une place dans la société, se sont hâtés toutes sortes d'énergies, tous les curieux, comme autant de badauds dans un souk ! Ils se sont épaulés, grégarisés, surmultipliés. Tous, sont en train d'hypertrophier et de caricaturer, une plaisanterie d'ado, un ersatz de canular, qui ne touche en rien, ni à la respectabilité du Prince, ni à la forme de sacralité qu'on doit lui prêter.
Les factionnaires (police, justice) mobilisés à juste titre, avec leur zèle, coutumier ou excessif, compréhensible à l'occasion, sont pris de vertige, dans un tourbillon qui peut devenir kafkaïen. La crainte est dans la main lourde qui pourrait s'abattre sur le détenu. Par l'effet d'une justice, flatteuse et compliante, qui intimidée par la personne du Prince, ferait dans le placebo et la complaisance. Plus que ne demandait la simple enquête ! Les juges sont capables de se laisser emporter, pour l'exemple le plus dissuasif, le plus excessif, au lieu de faire court et de libérer…ce gosse !
Libérons dès lors, le détenu ! D'abord par affection pour le jeune ingénieur, son ambition de plébéien, ses mérites d'ingénieur, pour le manque de tangibilité de son cas, qui n'est en rien un outrage au Prince, ni une exploitation commerciale de son image. Ensuite, parce que des célébrités nombreuses sont utilisées, inopinément comme icônes dans les forums. Comme on voit le pape, les anges figurer sur certains logos ! Pourquoi pas Mohamed V et Hassan II pour leurs fans ?
Au Prince, rendons grâce à sa sérénité ! A Fouad, nous espérons que SAR lui réserve un grand pardon, urgent, intelligent ! Une excuse digne et chevaleresque est sollicitée et souhaitée par toutes les parties dont ces milliers de milliers de lecteurs à travers le monde ! Une onction de la part de notre aimable Prince SAR My Rachid est tellement attendue. Elle devrait venir, jeter un baume immédiat sur cette plaie ouverte, pour ne pas l'ulcérer. Dès la fin du jugement et quel qu'il soit ! Avec la magnificence, la compréhension et la magnanimité, que l'on sait. Et pourquoi ne pas pardonner, sportivement à l'impétrant, pour tout arrêter et réparer, sans même permettre à la Justice d'aller jusqu'au bout ? N'est-ce pas, Vôtre Altesse ?!
Néanmoins, cette levée de boucliers, est une forme vivace du civisme ! Elle est quelque part à saluer. Preuve d'une immunité active de la communauté ! Ce sont les mêmes gens qui ont arrêté des terroristes ! Le patriotisme, le nationalisme ne sont pas morts ! Tous les pouvoirs, cumulés ou indépendants, même le juridique, sont tributaires de ces valeurs et les composent !
Pour le Maroc et sa réputation, il faut gommer ce dossier stérile, afin de faire éclater la bulle, au lieu de la laisser s'abcéder et éclabousser le pays, qui a d'autres chats à fouetter. Toutes les fièvres inutiles sont de trop, quand on se heurte au gros dossiers, celui de la destinée de notre province méridionale , ou quand il s'agit la sécurité des Marocains et de leurs dirigeants, comme ultimes valeurs !
Dr Idrissi My Ahmed Kénitra, le 18 février 2008, PH 061252005, [email protected]
SOLLICITATION A SAR LE PRINCE MOULAY RACHID
POUR EN FINIR AVEC CETTE VIRTUELLE MÉPRISE,
QU'EST L'AFFAIRE MORTADA !
Dans ce procès, présenté comme burlesque, il n'a y pas assez de contenance ni de convictions matérielles sur les intentions. On ne perçoit pas d'abus de confiance ni de manipulation, ni escroquerie, matérielle de la part de l'histrion, sachant que la personne physique de l'illustre Prince est trop connue dans le monde, pour servir d'acte de piraterie élémentaire ni de haut fait de falsification.
Dans cette affairette, rien de pénalement préjudiciable, que du ludique innocent, que du virtuel, inexploitable pécuniairement, rien de palpable en dehors, bien entendu, du respect indu au Prince, qui ne semble pas avoir été affecté ! On pourrait même croire, que jeune lui-même, My Rachid se soit amusé, tant de l'acte « perpétré », que des dimensions surréelles qui lui ont été réservées. On en vient à réfléchir sur une administration ombrageuse, sujette à des réformes ! Parfois tatillonne, marquée par des retards inopportuns ou intéressés, sinon victime d'empressements ou de déférences, qu'on ne lui demande pas, mais qui lui portent préjudice !
Donc, aucune raison pour mériter d'humilier le Maroc ni la Justice marocaine, par cette invasion médiatique hystérique sur le Web et les essaims des médias qui se sont faits des premières pages vendeuses, sur son dos ! Certains sont là pour faire dans le sensationnel et l'ingérence, les scoops exotiques, patauger de leurs caméras dans les alcôves et leurs plumes dans les secrets du royaume…Ou remuer dans ses affaires, qu'ils espèrent devenir de sales affaires ! Le journalisme doctrinaire, devient promoteur, faiseur d'événements et d'opinions. Des faits ou des intentions, des mots, qu'il catabolise et exprime pour sa propre existence. Créer l'événement, le produire, le médiatiser pour le vendre. Ouroboros, le serpent qui se mord la queue, passe sur la première !
Il faut arrêter le délire médiatique et la foire du Net. Nos valeurs démocratiques et notre contenance politique, se perdent devant tant d'ingérences, pour un fétu de paille ! Une plaisanterie, sans plus ! Vaine, venue d'un illustre inconnu. De Fouad Mourtada, un jeune roturier, n'en faisons pas un champion médiatique ! Ni un martyr de l'ignorance, des excès, des dérives ou des dépassements des fonctionnaires.
On donne l'impression d'avoir donné une occasion rêvée aux détracteurs du pays et de sa gouvernance, pour prendre leurs plumes et nous harceler, par ONG interposées. Nos opposants, radieux ne profèrent pas que des gentillesses, tant que la démesure est aux antipodes, opposant le faible, l'ignare au Prince, l'aisance, la hauteur et le savoir !
Dans cet imbroglio, parti de rien, tout semble porté à la perfection maniaque et fait à la loupe ! Or cette méthodologie, inquisitrice, ignorante des jeux du Web, a tendance à faire grossir les choses et à amplifier les détails. Pourtant, malgré la force du bon droit de chacun et le droit à la loi, même quand il s'agit du Prince, on semble avoir agi, paradoxalement. Au lieu de servir le Prince on le dessert. Pernicieusement, on fait une caricature de la justice, bonne pour écrire un fabliau ! Pendant que des affaires vitales nous attendent, nous guettent et que des actes odieux allaient être commis dans le pays !
Carrément, on tombe dans le panneau. On est en train de verser dans le sens espéré des nihilistes et des détracteurs de la politique générale du royaume. Bien, gauchement, à en croire les sympathies exprimées ça et là, et le tollé soulevé par les signataires, souvent anonymes, des pétitions bloggeuses qui fleurissent sur le NET . La perversité était attendue au virage. La finalité n'est pas le bonhomme en soi. Le but qui se devine chez ce panel d'objecteurs est d'apostropher le Maroc, d'humilier ses régisseurs, petits et grands, et, de réprimander ses sécuritaires, ses Gouvernants et sa Justice. Et c'est justement ce qu'l nous faut freiner et éviter !
Avec certains, médias qui veulent se faire un nom existentiel, une clientèle et une place dans la société, se sont hâtés toutes sortes d'énergies, tous les curieux, comme autant de badauds dans un souk ! Ils se sont épaulés, grégarisés, surmultipliés. Tous, sont en train d'hypertrophier et de caricaturer, une plaisanterie d'ado, un ersatz de canular, qui ne touche en rien, ni à la respectabilité du Prince, que Dieu le garde , ni à la forme de sacralité qu'on doit lui prêter.
Les factionnaires (police, justice) mobilisés à juste titre, avec leur zèle, coutumier ou excessif, compréhensible à l'occasion, sont pris de vertige, dans un tourbillon qui peut devenir kafkaïen. La crainte est dans la main lourde qui pourrait s'abattre sur le détenu. Par l'effet d'une justice, flatteuse et compliante, qui intimidée par la personne du Prince, ferait dans le placébo et la complaisance. Plus que ne demandait la simple enquête ! Les juges sont capables de se laisser emporter, pour l'exemple le plus dissuasif, le plus excessif, au lieu de faire court et de libérer…ce gosse ! Après tout, nous sommes humains, ici plus qu'ailleurs ! Aussi fragiles d'humeur que de caractère, demandez aux experts et aux psychologues !
Libérons dès lors, le détenu ! D'abord par affection pour le jeune ingénieur, son ambition de plébéien, ses mérites d'ingénieur, pour le manque de tangibilité de son cas, qui n'est en rien un outrage au Prince, ni une exploitation commerciale de son image. Ensuite, parce que des célébrités nombreuses sont utilisées, inopinément comme icônes dans les forums. Comme on voit le pape, les anges figurer sur certains logos ! Pourquoi pas Mohamed V et Hassan II pour leurs fans ?
Au Prince, rendons grâce à sa sérénité ! A Fouad, nous espérons que SAR lui réserve un grand pardon, urgent, intelligent ! Une excuse digne et chevaleresque est sollicitée et souhaitée par toutes les parties dont ces milliers de milliers de lecteurs à travers le monde ! Une onction de la part de notre aimable Prince SAR My Rachid est tellement attendue. Elle devrait venir, jeter un baume immédiat sur cette plaie ouverte, pour ne pas l'ulcérer. Dès la fin du jugement et quel qu'il soit ! Avec la magnificence, la compréhension et la magnanimité, que l'on sait. Et pourquoi ne pas pardonner, sportivement à l'impétrant, pour tout arrêter et réparer, sans même permettre à la Justice d'aller jusqu'au bout ? N'est-ce pas, Vôtre Altesse ?!
Néanmoins, cette levée de boucliers, est une forme vivace du civisme ! Elle est quelque part à saluer. Preuve d'une immunité active de la communauté ! Ce sont les mêmes gens qui ont arrêté des terroristes ! Le patriotisme, le nationalisme ne sont pas morts ! Tous les pouvoirs, cumulés ou indépendants, même le juridique, sont tributaires de ces valeurs et les composent !
Pour le Maroc et sa réputation, il faut gommer ce dossier stérile, afin de faire éclater la bulle, au lieu de la laisser s'abcéder et éclabousser le pays, qui a d'autres chats à fouetter. Toutes les fièvres inutiles sont de trop, quand on a un problème comme le Sahara, ou la sécurité des Marocains et de leurs dirigeants, comme ultimes valeurs !
Dr Idrissi My Ahmed Kénitra, le 18 février 2008, PH 061252005, [email protected]


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