Hier, mardi 24 juin, Aespa a marqué l'histoire du Festival Mawazine en devenant le premier groupe féminin de K-pop à se produire sur la scène OLM Souissi. Dans une ambiance survoltée, Karina, Winter, Giselle et Ningning ont offert un spectacle futuriste et immersif, transportant des milliers de fans dans leur univers métaversien. Suivez La Vie éco sur Telegram Hier, mardi 24 juin, la scène OLM Souissi du Festival Mawazine s'est transformée en un vortex futuriste lorsque aespa, le phénomène K-pop sud-coréen, a fait son entrée à 22h30. Karina, Winter, Giselle et Ningning, dans des tenues scintillantes aux accents cyberpunk, ont offert une performance historique, devenant le premier groupe féminin de K-pop à embraser ce festival légendaire. L'ambiance était électrique, portée par une foule vibrante et un spectacle immersif. Dès les premières notes de « Whiplash », la foule a explosé. Les basses du live band, combinées aux visuels futuristes projetés sur des écrans géants ont plongé le public dans l'univers du « Kwangya », le métavers propre à Aespa. « C'était comme entrer dans un autre monde ! », s'écriait un fan. Chaque morceau était un tableau vivant : « Supernova » a déclenché une ferveur presque palpable, tandis que « Next Level » et son dance break iconique ont fait trembler le sol sous les pas synchronisés des spectateurs. L'énergie de Karina, le charisme magnétique de Winter, la présence scénique de Giselle et les vocalises cristallines de Ningning ont hypnotisé la foule. Les transitions fluides entre titres comme « Spicy », « Armageddon » et « aenergy », ponctuées d'effets pyrotechniques et de jeux de lumières stroboscopiques, ont maintenu une tension dramatique digne d'un blockbuster. L'ambiance était particulièrement survoltée lors des interactions avec le public. Malgré la barrière linguistique, Aespa a su tisser un lien intime : Karina, souriante, a lancé un «Shukran, Morocco !» qui a déclenché une ovation. Les fans ont scandé «Aespa ! Aespa !» entre chaque chanson, et des pancartes en arabe, anglais et coréen flottaient dans la foule, témoignant de l'universalité de leur musique. «Voir aespa connecter avec le public marocain, c'était magique », nous dit un festivalier. La chaleur de l'été rabati, mêlée à l'effervescence collective, donnait à la soirée une aura de fête universelle. Des familles, des groupes d'amis et des fans en solo dansaient ensemble, certains découvrant la K-pop pour la première fois, d'autres vivant un rêve éveillé. Les abords de la scène vibraient d'une énergie contagieuse, amplifiée par la diversité du public de Mawazine, habitué à célébrer la musique sous toutes ses formes. Aespa a laissé la foule en transe, les derniers accords résonnant comme une promesse de retour. Comme l'a résumé un spectateur : «Aespa n'a pas juste performé, ils ont créé un souvenir éternel».