Slate Afrique vient de rejeter ce qu'il décrit comme une campagne de calomnies menée contre le groupe de presse et qui laisse entendre que ce média serait «soumis à des intérêts économiques et politiques et notamment aux pressions venues de la monarchie marocaine». «Cette thèse est ridicule, ne correspond à aucune réalité et vise avant tout à permettre à un collaborateur occasionnel de Slate Afrique, Ali Amar, remercié pour des fautes professionnelles graves et répétées de se poser en victime et en martyr», écrit le site d'informations du groupe Slate. Les auteurs de l'agrumentaire publié ajoute : «Ali Amar est une figure du journalisme d'opposition au Maroc; cela ne justifie pas le fait qu'il ait multiplié les plagiats dans les articles envoyés à Slate Afrique que nous devions sans cesse corriger et vérifier. Cela ne justifie pas le fait qu'Ali Amar couvrait le Maroc depuis la Slovénie… Et il a fini par être sanctionné pour cela, pas pour son opposition à la monarchie marocaine», explique le web magazine.