Le collectif de défense des détenus d'opinion en Algérie confirme que des détenus politique ont entamé une grève de la faim, depuis mercredi dernier, notamment dans la prison d'El-Harrach. Cette confirmation apporte un démenti cinglant au communiqué du parquet général algérien. Celui-ci voulait faire croire qu'il n'y avait aucun mouvement de protestation au sein des établissements pénitentiaires. #عاجل بيان هيئة الدفاع عن معتقلي الرأي بخصوص إضراب المعتقلين بناءا على ماجاء في بيان النيابة العامة لمجلس قضاء... Posted by 22 février 2019 pour une Algérie Meilleure et une Démocratie Majeure 2 on Sunday, January 30, 2022 La vérité est qu'un mouvement de protestation, sans précédent, de personnes détenues dans le cadre du Hirak algérien a lieu depuis quelques jours dans les prisons algériennes. Les prisonniers politiques d'El-Harrach ont pu faire entendre leur voix au-delà des murs de leurs cachots. D'autres suivront. Au lieu de libérer ces prisonniers que des ONG de défense des droits de l'Homme considèrent comme ayant été injustement interpellés et incarcérés, sans procès équitables, le pouvoir algérien se réfugie dans son habituel déni. Mais on ne peut pas «cacher le soleil par un tamis», leur rétorquent certains militants. "République" Algérienne "Démocratique" et "Populaire" 13.12.2021 Plus de 300 prisonniers d'opinion, sont incarcérés dans les #prisons_algériennes.#Algeria#Algérie#الجزائر#سجناء_الرأي. #Prisonniers#opinion#PrisonnersOfCounscious . pic.twitter.com/JCrsBWSkxm — Critical Thinking DZ التفكير النقدي (@DzCritical) December 13, 2021