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Après le verdict du Conseil de Sécurité de l'ONU Les séparatistes pris de rage
Troubles à l'ordre public et actes de violence dans les provinces du Sud
Les l'annonce de l'adoption par le conseil de Sécurité de l'ONU de la résolution prorogeant le mandat de la MINURSO sans élargir sa mission à la surveillance des droits de l'Homme au Sahara, le Polisario, la presse algérienne, certains sites marocains à la solde de l'Algérie et les séparatistes dits de l'intérieur, ont été pris d'une rage indescriptible. Analyses tirées par les cheveux, fausses informations et intox, ont meublé ces derniers jours les supports polisariens et, sur le terrain, c'est-à-dire dans les provinces du Sud, les milieux séparatistes se sont adonné à leur sport favori: les équipées subversives pour provoquer l'anarchie et induire en erreur l'opinion publique internationale. Entre le 26 et le 27 avril, pas moins de 32 actes du genre ont été recensés à Laâyoune, cinq à Smara, un à Dakhla et un à Boujdour. C'est dire que les groupuscules séparatistes, téléguidés à partir d'Alger et de Tindouf, avaient tout manigancé à l'avance dans la perspective de leur défaite annoncée. Leur modus operandi: s'attrouper sur la voie publique, barricader la chaussée, haranguer les forces de l'ordre et s'attaquer aux éléments des forces publiques dans l'espoir de créer une spirale de violence. Profitant de l'attitude de retenue des forces de l'ordre, les hordes d'agitateurs se sont, selon plusieurs témoignages, acharnés sur les éléments de la police et des forces auxiliaires. Armes blanches, sabres, cocktails Molotov, jet de pierres, voire de briques à partir des terrasses de maisons, tous les moyens étaient bons. Résultat: plusieurs véhicules de police endommagés et pas moins de 48 blessés, dont certains graves, parmi les forces de police et les forces auxiliaires, en plus d'un gendarme et d'un photographe, évacués tous à l'hôpital militaire de Laâyoune. Des témoins rapportent également que d'autres groupes d'agitateurs ont sillonné, à bord de quatre véhicules tout terrain chargés de pierres, les lotissements Arraha, Al Wifaq, Al Aouda, s'attaquant aux dispositifs de sécurité et aux patrouilles de police dont celles en faction devant le siège du 6ème arrondissement de police et du 15ème arrondissement urbain. Aminatou Haïdar, parraine et mentor des subversifs polisariens de l'intérieur, n'a pas chômé durant ces troubles. Selon des sources journalistiques, elle s'est rendue samedi à l'hôpital de Laâyoune où elle a empêché une équipe de télévision d'interviewer un mineur d'âge souffrant d'une blessure à l'épaule, qu'elle a d'ailleurs emmené avec elle. Les agissements des agitateurs et subversifs ne sont pas pour étonner compte tenu du degré de déception des séparatistes et de leurs protecteurs qui s'apprêtaient à “fêter la victoire" mais qui, en vertu des termes de la résolution du Conseil de Sécurité, se sont retrouvés dans la situation de l'arroseur arrosé.