Après le festival Timitar qui s'illumine à l'antichambre de l'été, le concert de la tolérance prend la relève au vestibule de l'hiver. Un enchainement des plus commodes pour une station balnéaire qui ne fait que battre de l'aile. L'animation, à longueur d'année, fait atrocement défaut dans une destination pratiquement maussade, au moment où d'autres produits similaires ont pignon sur rue ; le touriste ne s'ennuie jamais pendant son séjour.