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Double financement algérien pour attiser l'extrémisme : des "Vacances en paix" à l'université de Boumerdès... un plan caché pour menacer la sécurité de l'Europe depuis Tindouf
Alors que la communauté internationale continue de lancer des appels à tarir les sources de l'extrémisme, des données de terrain et des révélations médiatiques espagnoles, publiées notamment par le journal La Vanguardia, mettent en lumière des rôles inquiétants que joue l'Algérie dans le soutien à des agendas séparatistes à caractère extrémiste. À la tête de ces actions : un financement direct de programmes présentés sous couvert humanitaire, utilisés pour recruter des éléments fidèles au Front Polisario, et les transformer ensuite en instruments de menace pour la sécurité régionale et internationale. Parmi ces programmes figure "Vacances en paix", promu pendant des années comme une initiative humanitaire permettant à des familles espagnoles d'accueillir des enfants des camps de Tindouf durant les vacances d'été. Des rapports des services de renseignement espagnols révèlent qu'un certain nombre de ces anciens bénéficiaires se sont transformés en éléments extrémistes ayant ensuite intégré des organisations terroristes actives dans la région du Sahel, voire participé à des projets menaçant la stabilité de l'Europe. Ce qui est particulièrement alarmant, c'est que ces individus, élevés dans un environnement imprégné de pensée séparatiste, ont profité de l'opportunité de vivre au sein de la société espagnole, acquérant ainsi une connaissance fine de sa culture et de sa langue – des compétences exploitées par certains groupes extrémistes pour mener ou planifier des attaques selon la méthode des "loups solitaires". Mais ce visage apparent ne constitue qu'un maillon d'un système plus vaste, soutenu par l'Algérie, pour alimenter les conflits régionaux et déstabiliser la sécurité européenne. Parallèlement au programme "Vacances en paix", l'Algérie finance chaque année l'organisation de ce qu'on appelle "l'université d'été de Boumerdès", un espace de mobilisation et d'encadrement idéologique destiné à inciter les membres du Polisario à adopter un discours hostile à l'Europe, en particulier à l'Espagne, tout en favorisant l'expansion de l'extrémisme dans la région du Sahel. Des sources médiatiques espagnoles affirment que cette université d'été constitue une plateforme d'endoctrinement idéologique pour les jeunes du Polisario, en les enrôlant dans un projet politique et sécuritaire qui menace la stabilité du bassin méditerranéen et de l'Afrique de l'Ouest, en lien manifeste avec les activités de groupes terroristes opérant dans des zones aux frontières poreuses et hors de tout contrôle. Dans ce contexte, des voix s'élèvent au sein des milieux européens pour appeler à une révision complète des programmes accueillant des enfants ou des jeunes des camps de Tindouf, en adoptant une approche tenant compte de la dimension sécuritaire, surtout après l'accumulation de preuves concernant des infiltrations graves et l'exploitation d'aides humanitaires à des fins hostiles envers les pays européens. En attendant une réaction ferme de la communauté internationale, la responsabilité de surveiller et de contrer ces menaces reste collective, nécessitant une coordination accrue sur les plans sécuritaire et du renseignement entre les capitales européennes, afin de protéger leur stabilité interne et l'intégrité des initiatives humanitaires.