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Le WAC doit confirmer pour écrire une nouvelle page de son histoire Spécial
Publié dans Lions De l'Atlas le 02 - 11 - 2017

Fort d'un nul au goût de la victoire en finale aller la semaine dernière à Alexandrie face aux Egyptiens d'Al-Ahly, le Wydad de Casablanca (WAC) semble bien tenir la corde pour clore en beauté son aventure en Ligue des champions d'Afrique de football et écrire ainsi une nouvelle page de son histoire dans ce plus prestigieux tournoi continental des clubs.
Pour aboutir à leur fin et triompher de leurs vis-à-vis, les protégés de Houcine Ammouta ont l'obligation de sortir le grand jeu, samedi au complexe Mohammed V de Casablanca, où ils auront le soutien inconditionnel de milliers de leurs supporters.
En effet, les « Rouge et Blanc », qui ont accompli la moitié de leur mission lorsqu'ils ont ramené un nul précieux (1-1) du stade Borj Al Arab et devant un public survolté, seraient en parfaite mesure de finir en beauté le travail déjà commencé et graver pour la deuxième fois leur nom en lettre d'or dans le palmarès de cette compétition.
Quoique malmenés durant presque tout le match aller, les Wydadis ont su se transcender et se libérer de toutes les pressions, faisant montre d'une grande maturité tactique et d'un mental d'acier. Solides défensivement, très disciplinés sur la ligne médiane et efficaces offensivement, grâce à l'intenable Bencharki, auteur d'une égalisation qui pourrait être la clé du sacre, les Marocains ont fini ce match avec le moins de dégâts et se sont mis en pole position pour arborer sur leur maillot une deuxième étoile continentale, après celle de 1992.
Après cette rencontre héroïque, Ammouta n'a pas manqué de saluer la prestation de ses protégés « concentrés et forts collectivement », tout en se disant parfaitement conscient que le plus dur reste à faire et qu'il va falloir redoubler d'efforts au retour pour s'emparer du sacre.
Tout à fait, face aux « Diables Rouges », octuples champions d'Afrique et rodés à ce genre de rencontres, les champions du Maroc en titre doivent impérativement s'investir à fond et gérer intelligemment les péripéties de ce cet ultime virage crucial.
En terme de statistiques, les deux équipes se sont rencontrées à sept reprises, avec deux succès pour Al Ahly et un pour le WAC, alors que les deux protagonistes s'étaient neutralisés lors de quatre confrontations.
Al Ahly est à sa 11è finale en Ligue des champions, avec huit titres glanés, alors que le WAC dispute la finale pour la troisième fois, après celle inaboutie en 2011.
Ce palmarès milite largement en faveur des Egyptiens qui partent, sur le papier, avec un léger avantage, mais sur le terrain, le Wydad nourrit une grande volonté de faire plancher la balance de son côté, animé par l'ambition d'assurer sa présence pour la première fois au « Mondialito » des clubs aux Emirats arabes unis.
Ultra-solidité défensive, création et récupération en milieu de terrain et finition à la Bencharki en attaque, telles sont les clés de jeu sur lesquelles l'expérimenté Ammouta baserait son système de jeu pour espérer se défaire du « club africain du XX siècle ».
Finalistes malheureux en 2011 devant l'EST avec un match retour à Tunis, les Casablancais auront un avantage cette fois-ci. Ils disputent le match retour dans leur antre, réputé pour son ambiance électrique et festive et son public classé parmi les meilleurs au monde. Cette arène est en effet un véritable enfer pour les adversaires.
Samedi soir, le WAC a rendez-vous avec l'histoire, avec à bout des pieds, plus que jamais, un trophée attendu depuis 25 ans.
Pour aboutir à leur fin et triompher de leurs vis-à-vis, les protégés de Houcine Ammouta ont l'obligation de sortir le grand jeu, samedi au complexe Mohammed V de Casablanca, où ils auront le soutien inconditionnel de milliers de leurs supporters.
En effet, les « Rouge et Blanc », qui ont accompli la moitié de leur mission lorsqu'ils ont ramené un nul précieux (1-1) du stade Borj Al Arab et devant un public survolté, seraient en parfaite mesure de finir en beauté le travail déjà commencé et graver pour la deuxième fois leur nom en lettre d'or dans le palmarès de cette compétition.
Quoique malmenés durant presque tout le match aller, les Wydadis ont su se transcender et se libérer de toutes les pressions, faisant montre d'une grande maturité tactique et d'un mental d'acier. Solides défensivement, très disciplinés sur la ligne médiane et efficaces offensivement, grâce à l'intenable Bencharki, auteur d'une égalisation qui pourrait être la clé du sacre, les Marocains ont fini ce match avec le moins de dégâts et se sont mis en pole position pour arborer sur leur maillot une deuxième étoile continentale, après celle de 1992.
Après cette rencontre héroïque, Ammouta n'a pas manqué de saluer la prestation de ses protégés « concentrés et forts collectivement », tout en se disant parfaitement conscient que le plus dur reste à faire et qu'il va falloir redoubler d'efforts au retour pour s'emparer du sacre.
Tout à fait, face aux « Diables Rouges », octuples champions d'Afrique et rodés à ce genre de rencontres, les champions du Maroc en titre doivent impérativement s'investir à fond et gérer intelligemment les péripéties de ce cet ultime virage crucial.
En terme de statistiques, les deux équipes se sont rencontrées à sept reprises, avec deux succès pour Al Ahly et un pour le WAC, alors que les deux protagonistes s'étaient neutralisés lors de quatre confrontations.
Al Ahly est à sa 11è finale en Ligue des champions, avec huit titres glanés, alors que le WAC dispute la finale pour la troisième fois, après celle inaboutie en 2011.
Ce palmarès milite largement en faveur des Egyptiens qui partent, sur le papier, avec un léger avantage, mais sur le terrain, le Wydad nourrit une grande volonté de faire plancher la balance de son côté, animé par l'ambition d'assurer sa présence pour la première fois au « Mondialito » des clubs aux Emirats arabes unis.
Ultra-solidité défensive, création et récupération en milieu de terrain et finition à la Bencharki en attaque, telles sont les clés de jeu sur lesquelles l'expérimenté Ammouta baserait son système de jeu pour espérer se défaire du « club africain du XX siècle ».
Finalistes malheureux en 2011 devant l'EST avec un match retour à Tunis, les Casablancais auront un avantage cette fois-ci. Ils disputent le match retour dans leur antre, réputé pour son ambiance électrique et festive et son public classé parmi les meilleurs au monde. Cette arène est en effet un véritable enfer pour les adversaires.
Samedi soir, le WAC a rendez-vous avec l'histoire, avec à bout des pieds, plus que jamais, un trophée attendu depuis 25 ans.


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