Selon la ministre de l'Asile et de la Migration, Anneleen Van Bossuyt, le Maroc figure pour la première fois sur cette liste, malgré l'avis défavorable du Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA). « De solides indices laissent penser que le Maroc peut être considéré comme un pays sûr, car la situation des droits humains s'y est considérablement améliorée ces dernières années », a-t-elle affirmé. La ministre a précisé que les ressortissants d'un pays figurant sur la liste des pays d'origine sûrs sont présumés ne pas avoir besoin d'une protection internationale.