La communication politique du Parti de l'Istiqlal à l'ère du multimédia

«www.mizane.tv», ou l'art de l'introduction des nouvelles technologies de l'information et de la communication

Par sa fidélité aux valeurs sacrées de la nation, par ses prises de position courageuses en faveur des droits des populations, par son sens de l'initiative politique, socio-économique et culturelle et son respect de ses engagements, le Parti de l'Istiqlal s'est toujours distingué sur la scène politique nationale. Et continue de se démarquer par son approche prospective, bien enraciné comme il est dans l'histoire contemporaine du Maroc et foncièrement tourné vers l'avenir.
Vous voulez vous faire une idée sur le parcours historique du parti de l'Istiqlal, issu de la matrice du mouvement national, et du combat de grands hommes, tel le leader Allal El Fassi, qui ont milité pour l'émancipation du Maroc ? Ou alors avoir un aperçu sur les réalisations du Maroc et les acquis engrangés par les différentes catégories de la société au cours des quatre dernières années ? Mieux encore, «mizane.tv», cette télévision électronique dont le nombre de visiteurs double chaque jour et où la langue amazighe figure en bonne place, vous propose aussi le programme économique, social et culturel du Parti de l'Istiqlal pour les cinq prochaines années, qui sera mis en œuvre grâce à la confiance des Marocains et aux votes des électeurs.
«mizane.tv» ? C'est la chaîne web-tv du Parti de l'Istiqlal, qui met à la disposition des Marocains tout ce qu'ils pourraient chercher à savoir sur ce parti, de sa création à ses projets pour l'avenir, en passant par le bilan de son action gouvernementale. Une première au Maroc en matière de communication politique, exploitant au mieux les Nouvelles Technologies de l'Information pour être en phase avec la culture «web» de la jeunesse marocaine et les exigences sociopolitiques de l'époque. 35% des candidats du Parti de l'Istiqlal ont moins de 40 ans, le plus jeune ayant à peine 23 ans. L'avenir du Maroc appartient à ses jeunes, qui doivent donc l'édifier eux-mêmes, selon leurs propres perceptions et conceptions.
Le Parti de l'Istiqlal a été fondé par de grands hommes politiques qui croyaient en l'avenir du Maroc indépendant, en le potentiel et capacités des Marocains à se libérer de la mainmise étrangère et à forger de leurs propres mains cet avenir. C'est maintenant à la nouvelle génération de poursuivre cette glorieuse marche en avant, avec une nouvelle Constitution taillée pour répondre aux mieux aux attentes des Marocains. Pour cela, il faut assumer ses responsabilités citoyennes en prenant part, vendredi 25 novembre prochain, à l'élection des représentants du peuple à la Chambre des représentants et, delà, au choix du futur Chef du gouvernement.
«www.mizane.tv»
Un journal télévisé de campagne est présenté quotidiennement par «mizane.tv», ainsi qu'un «Carnet de campagne», outre une foule d'enregistrements vidéo traitant du Parti de l'Istiqlal «Au fil de l'histoire», de ses «Convictions», de ses «4 ans d'action», de sa «Confiance en l'avenir» et de ses candidats. Une tribune libre laisse place à différents leaders d'opinion pour exprimer leur foi en un Maroc qui progresse et des marocains qui veulent continuer à avancer en accélérant la cadence.
Il ne faut pas rêver, la démocratie, les droits, ça ne s'octroie pas, il faut militer pour les obtenir. Les Marocains peuvent s'estimer heureux de vivre dans une Monarchie constitutionnelle, sous le règne d'un monarque éclairé qui a su répondre aux aspirations de son peuple, sans que celui-ci n'ait eu à plonger le pays dans le chaos pour y parvenir. Mais aussi moderne et en phase avec les attentes de la société marocaine, la nouvelle loi fondamentale du pays a besoin de partis et d'hommes politiques de valeurs pour en activer les différents acquis. Les Marocains doivent donc être tout aussi nombreux à se rendre, le 25 novembre aux bureaux de vote pour choisir leurs représentants, que le jour du référendum pour l'adoption de la nouvelle Constitution. Car tel est le véritable enjeu du prochain scrutin législatif. «Sans crédibilité acquise à travers les bulletins de vote, point de gouvernement fort, donc point de politique volontariste» résume M. Nizar Baraka, lors d'une conférence organisée récemment, à Casablance, par la célèbre école de commerce HEM et dont la vidéo figure sur «mizane.tv».
Le sens de la responsabilité
M. Abbas Fassi, secrétaire général du Parti de l'Istiqlal, a été nommé Premier ministre par SM le Roi du fait que son parti a été classé premier aux élections législatives de 2007. Le choix des Marocains avait été respecté et le sera désormais toujours, ce mode de désignation du chef du pouvoir exécutif ayant été constitutionnalisé. Nul ne peut dorénavant fuir ses responsabilités, ni les hommes politiques en charge des affaires de l'Etat, ni les électeurs, qui ont à les désigner. La démocratie, c'est d'abord le sens de la responsabilité.
Il faut être politiquement responsable pour afficher ses ambitions sans tomber dans les promesses irréalisables et les engagements utopiques, donc sans lendemain. «Malgré la crise financière internationale, le Maroc a pu réaliser un taux de croissance moyen de 4,5% au cours des quatre prochaines années, ce qui a permis au gouvernement de créer beaucoup plus d'emplois que les précédents, tout en gardant la maîtrise de l'inflation et sans que le taux d'endettement extérieur du Maroc ne dépasse les 54%» a expliqué M. Karim Ghellab, lors d'une conférence tenu récemment à la Bourse de Casablanca, sur invitation de «Science Po» et dont l'enregistrement est également sur «mizane.tv». Comparé aux pays européens voisins, on peut affirmer que l'orthodoxie financière est beaucoup mieux respectée de ce côté de la Méditerranée. Mais vu le contexte économique mondial difficile, le Maroc ne pourrait tabler sur un taux de croissance économique supérieur à 5%, ce qui est déjà ambitieux. Pour ce faire, les stratégies et plans sectoriels déjà entamés seront poursuivis et une stratégie spécifique sera également élaborée en ce qui concerne les grands travaux d'infrastructures. L'encouragement de la petite et moyenne entreprise se fera à travers une réduction du poids fiscal et la promotion de l'auto emploi à la faveur de mesures incitatives.
Apôtre de l'égalitarisme
Grâce à quoi, le Parti de l'Istiqlal peut prétendre créer 850.000 emplois sur cinq ans, dont 100.000 dans la fonction publique. Il ne s'agit plus d'ouvrir les portes de la fonction publique pour dégonfler les rangs des chômeurs, mais de «répondre aux besoins de l'administration publique, justice, sûreté, secteur de la santé, etc, afin de répondre aux besoins croissant des populations en matière de services publics» souligne M. Ghellab.
Le Parti de l'Istiqlal ambitionne de réduire les inégalités sociales et d'élargir la classe moyenne, dont il veut faire le socle de la société marocaine. C'est un choix éminemment politique, qui distingue l'Istiqlal des partis qui prônent un libéralisme outrancier, dont le monde assiste pourtant actuellement au cuisant échec. Ce n'est pas non plus un choix opportuniste, puisque, comme l'a rappelé M. Abbas Fassi, le parti de l'Istiqlal s'est toujours rangé du côté des déshérités pour défendre leurs intérêts.
Fidélité aux valeurs et à l'esprit des fondateurs du mouvement national, prises de positions marquées en faveur du peuple et d'initiatives visionnaires et vaillantes pour le progrès de la nation, le Parti de l'Istiqlal cherche à regrouper autour de son programme électoral et son projet sociétal tous ceux qui partagent ces convictions.
Des Marocains libres, égaux et entreprenants dans un Maroc souverain, rayonnant et prospère.
L'introduction par l'Istiqlal des technologies modernes de l'information et de la communication, qui s'ajoutent aux procédés classiques, le place désormais en pôle position en matière de proximité avec les citoyens.
Visitez chaque jour la web-tv «www.mizane.tv», vous y trouverez toujours du nouveau et un précieux guide pour séparer la bonne graine de l'ivraie.