Depuis mi-mars, Sultana Khaya, pour donner du souffle à sa propagande, retient chez elle Tim Pluta, ancien militaire irlando-américain, et de Ruth McDonough, institutrice britanno-américaine. Cette dernière, qui a vu sa santé se détériorer après ce séjour, vivra l'enfer. Sultana Khaya, agitatrice séparatiste à la solde des services de renseignement algérien, a refusé d'aider les autorités marocaines à secourir Ruth McDonough, institutrice britanno-américaine, en très mauvaise santé et qu'elle retient chez elle depuis la mi-mars. Non seulement elle s'oppose à son hospitalisation, mais elle a tenu à documenter le piètre état de cette citoyenne dépolitisée. Separatist Sultana Khaya and her family put the life of an American citizen at risk, after refusing to help the authorities to transfer the American citizen for treatment, then wish her death, and document the crime with a mobile phone. — Irina Tsukerman (@irinatsukerman_) May 10, 2022 Tant d'idées fausses ont été mises en circulation sur cet événement, tant de contrevérités ont été propagées par l'entourage de Sultana Khaya, qui ne veut pas laisser partir ces deux individus, malgré les avertissements des autorités américaines au Maroc. Etant donné son passé et ses intentions, il est certain que les actes de Sultana Khaya ont été considérés comme du chantage. La séparatiste était en parfaite violation de la loi et du droit en profitant de la détresse de Ruth McDonough, ce qui prouve encore qu'elle n'était nullement décidé à faiblir en ce qui concerne son acharnement antimarocain, Pour sauvegarder autant que possible «ses otages», elle les a forcés à rester à Boujdour au-delà de la durée initiale de leur séjour, afin de trouver le temps de réaliser ses sinistres desseins : les utiliser à des fins politiques. «Tout ceci est une plaisanterie grossière et cynique. Cette femme néfaste est téléguidée pour exprimer sa rage contre les autorités marocaines. Il pèse sur sa tête une responsabilité accablante : la sécurité et l'état de cette femme [Ruth McDonough] alors que Khaya s'est donnée la joie infernale de la livrer aux flammes de sa propagande», disent nos sources.
