Après plusieurs années d'absence, Aminux s'apprête à faire un retour remarqué sur la scène musicale marocaine. L'artiste tangérois dévoile « AURA », un projet-concept ambitieux pensé comme un voyage sonore en deux volets : la "Black Edition" et la "White Edition", symbolisant les deux facettes de son univers artistique. L'album marque non seulement le retour de l'un des pionniers du R'n'B marocain, mais aussi une véritable renaissance créative. Aminux y explore de nouvelles sonorités tout en restant fidèle à son identité musicale : une fusion élégante entre émotion, modernité et héritage marocain. La première partie, « AURA – Black Edition », paraîtra le 15 novembre. Elle comprendra cinq titres au ton direct et intense, parmi lesquels « Ziyech », « Ma Love », « Toxic », « Ghar9in » et « Alalay ». La seconde, la « White Edition », attendue pour janvier 2026, viendra compléter le projet avec deux collaborations internationales majeures : Maître Gims et Fares Sokar, étoile montante de la scène égyptienne. Enregistré au studio RedOne de Tétouan, l'album bénéficie d'une production soignée et contemporaine, portée par une équipe de jeunes producteurs marocains — Soufiane AZ, Negaphone, Kgotbeat et Sooka — qui insufflent un souffle neuf à l'esthétique R'n'B-Pop d'Aminux. La Black Edition, première étape du projet, s'accompagne d'un univers visuel sobre et contrasté en noir et blanc, conçu pour traduire le dualisme entre force et sensibilité qui traverse les morceaux. Deux clips ont déjà été annoncés : « My Love », prévu pour le 15 novembre, jour de la sortie de la Face A et « Ziyech », attendu le 1er décembre, tous deux réalisés à Casablanca par le talentueux Youssef Assouari. Le premier extrait, « Ziyech », a d'ailleurs déjà conquis les réseaux sociaux, confirmant la forte connexion entre Aminux et son public, fidèle depuis ses débuts. De son vrai nom Amine Temri, Aminux s'est imposé comme l'un des artistes les plus influents du R'n'B marocain depuis ses débuts en 2007. Révélé par des titres cultes comme « Tfat Chem3a », « Ana Wiak » ou « Jehdi Tsala », il a marqué toute une génération.