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Potins de Marrakech
Publié dans L'opinion le 17 - 07 - 2014

Ce sont bien des dos de chameaux et non des dos d'ânes qui jalonnent la rue El Mouzdalifa à hauteur du siège de la CNSS. Déjà, les automobilistes qui sont de passage par là s'interrogent sur leur construction à moins que ça soit pour casser les amortisseurs de leurs véhicules, du moment qu'il n' y a pas d'écoles dans les parages.
C'est une figure emblématique que Marrakech vient de perdre. Haj Boubker Benchoukroun puisque c'est de lui qu'il s'agit était un fervent militant istiqlalien de son vivant comme l'est présentement son fils, le célebrissime architecte Si Mohamed. Le défunt qui était également une figure sportive de proue, passant pour être une référence en football plus particulièrement en l'arbitrage a rendu l'âme à la suite d'une longue maladie et du poids de l'âge.
A Dieu nous sommes et à Lui nous retournons.
Que les membres de sa petite et sa grande famille trouvent ici l'expression de nos condoléances attristées.
En ce mois du Ramadan, nos hôtels qui ont beau élaborer des programmes d'animation et confectionner des packages alléchants en termes des prix, peinent à trouver preneurs.
C'est que les Marocains en général aiment passer ce mois sacré à domicile.
Le jeune et non moins agréable mall Carré Eden plait par les lignes de sa structure architecturale et sa dimension humaine signée Karim Achak, un architecte designer qui se passe de présentations. Sauf que les amateurs des roses et autres fleurs pourraient être déçus puisqu'aucun magasin, ni même le centre de distribution Carrefour n'offre cette précieuse marchandise dans son achalandage.
Marrakech foisonne d'associations de toutes sortes qu'on les compte par dizaines de milliers. Hélas, elles semblent dormir en ce mois sacré où elles doivent pourtant bouger.
Nous aurions aimé voir ces associations qui se veulent à vocation essentiellement culturelle et à la fibre religieuse comme à titre d'exemple Al Mounya ou le cercle des amis de Marrakech, nous avons nommé leurs présidents respectifs Jaafar Kansoussi et Habib Abouricha, animer et illuminer de leurs éventuels programmes nos soirées.
A défaut de programmes d'animation à même de nourrir les esprits, ce sont bien les terrasses des cafés qui en profitent pour la culture des ragots et des jeux de cartes.
C'est la réflexion d'un visiteur tétouanais qui a fait vainement 10 fois la navette le long de l'avenue Mohammed V à la recherche d'une affiche qui annoncerait un programme d'animation de quelque sorte qu'il soit.
Il est incontestable que la palme en matière d'animation revient aux mosquées qui font le plein par des fidèles qui vivent sur un nuage tant ils sont transportés par l'essence des prières.
A voir le nombre des étrangers qui se convertissent en l'Islam par la grâce des prêches des Imams, nous ne saurons que remercier le bon Dieu pour nous avoir gratifié de son Livre sacré.
Faut-il croire aux prix affichés de ces différents effets vestimentaire qui accordent des baisses en guise de promotion ou de solde des fois à hauteur de 70% voire plus ?
Pas toujours, car il faut d'abord connaître le prix de base et s'assurer de la qualité et de l'année de fabrication du modèle exposé à la vente avant de s'y aventurer.
Le mois du Ramadan a toujours eu son lot de scènes à scandales et aux disputes verbales très souvent véhémentes et cela nous l'avons vécu depuis notre jeune âge. C'est ce qui existe toujours sauf que ces scènes et disputes ont changé de motif, du moins à Marrakech où on peut constater que le fameux sabot qui paralyse les roues des véhicules est devenu prétexte à de véritables empoignades de très bas niveau.
A raison ou à tort, les sociétés déléguées en charge de ce service se doivent de conseiller à leurs agents de se montrer plus conciliant et courtois dans leur langage.
Tout Marrakech s'interroge sur l'utilité de la construction d'une route à trois voies de même dimension que séparent d'étroites bandes en dur surélevées tout le long du chemin. Nous parlons de l'avenue Hassan II et le large boulevard menant à l'aéroport.
Les uns avancent que la voie centrale sera dédiée exclusivement à la circulation des bus et des taxis pendant que d'autres parlent de travaux préalables à la mise en service du tramway.
Pendant ce temps la voie centrale est fermée à la circulation au grand dam des automobilistes qui s'en remettent aux couloirs latéraux et la mairie persiste dans le silence.
Sous d'autres cieux et d'autres mairies il y aurait des panneaux en bonne et du forme exposant la configuration du projet assortie d'excuses à l'endroit des citoyens pour les éventuels dérangements que les travaux pourraient engendrer.


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