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L'histoire de deux tristes personnages qui ne font qu'un : « M. Sep BouteFIFA »
Publié dans L'opinion le 25 - 07 - 2015

l'hostilité ou de fusion affective chez certains ? Il serait évident que la complexité même de la nature humaine peut faire découvrir ces défauts communs aux hommes, qui font mal. C'est que l'Histoire humaine, qui note scrupuleusement les agissements de chacun de nous, fait toujours rappeler cette contrainte des enchainements des évènements qui la génèrent. Aussi, ces scandales ayant rapport avec la FIFA, Sep Blatter, la corruption, les dollars jetés à la figure du tout puissant président de la FIFA... ne sont que la continuité qui se perpétue chaque jour sur notre mère Terre.
Il existe pire et on ne peut en aucun cas oublier ce « exclusion » si cruelle perpétrée contre notre pays dans les années 80, lorsqu'un certain Idem Kodjo s'est illustré en invitant une entité fantomatique appelé « rasd » à venir remplir les rangs de la défunte OUA. Kodjo, alors secrétaire général de cette vaine instance, s'est permis de violer son règlement intérieur afin de permettre au polisario de s'installer en son sein, grâce bien sûr, à une manne exorbitante de dollars offerte gracieusement par Boutef, Boumedienne et l'Algérie, le parrain proclamé de cette pseudo rasd !
L'opération de persuasion algérienne se déroulait concrètement de manière ostentatoire, distribuant des chèques à gogo à certains chefs d'Etat africains, qui n'avaient alors nullement hésité à voter l'insertion du polisario au sein de l'OUA, faisant fi du Droit international, contraignant le Maroc à la quitter définitivement. En 2000, l'ancien secrétaire général de l'ex-OUA devenue UA, venait de sortir de son silence macabre pour déclarer nettement sa pleine responsabilité coupable dans l'entrée du polisario à l'OUA et demanda ensuite pardon au Maroc. Kodjo était le semblant de Blatter et si l'instance de ce dernier ne nous avait pas privés de l'organisation des coupes du monde de 1998 et 2010, il n'en demeure pas moins que le premier nous avait complètement abattu en voulant nous déraciner de notre merveilleux continent...
Sauf qu'entre les deux cas, le Maroc a beaucoup résisté pour vouloir démontrer aux deux de quoi il est capable, puisque sur le premier volet, il a construit de grands stades et a accueilli les plus somptueux évènements sportifs planétaires et sur le deuxième registre, le Royaume a réussi un développement impressionnant, qui a ébahi le monde entier, pour devenir une référence continentale sur tous les plans.
Que dire de plus , si ce n'est que le Maroc a préféré se contenter de suivre son petit bonhomme de chemin, par la réalisation sur le terrain de gigantesques projets de développements, laissant ses détracteurs patauger dans l'incertitude et le cafouillage malsain, qui fini toujours par faire s'engluer son homme dans un pétrin bien pire que les sables mouvants...
A méditer, car les Marocains vivent bien pendant que d'autres s'enfoncent de jour en jour !


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