7 buts dans un match de Ligue des Champions. Il faut dire que c'est rare et c'est bon pour le spectacle. Un WAC prêt de l'impossible, cette soirée du 24 septembre 2016 restera dans les annales du « Guinnes Book » Red avec cinq (5) visites des filets cairotes. Prêt donc de l'exploit, cette remontada inachevée avait comme acteurs un groupe d'hommes homogènes avec néanmoins un garçon gaucher venu de son Hay Mohammadi nommé Ismaïl Haddad, certainement qui a tapé dans l'œil du coach national Hervé Renard présent dans le stade. Dribles à la Acila, dribles mais aussi finesse doublée de vitesse, il servit à plusieurs fois ses coéquipiers (William Jebour auteur de deux concrétisations – 11ème et 45ème minutes) en plus de son heading de la 18ème minute. Un latéral droit égyptien complètement dans la poche, toute la défense égyptienne eut du mal à le contrecarrer jusqu'à avoir mal au ventre. Haddad l'homme de fer, malheureusement pour ce soir, un autre Iron Mann avait pris place sur l'arène Rbatie et il s'agit, comme vous le devinez, du Nigérian Stanley Ohawuchi (26 printemps, 1m76, 73kg), celui qui coupa la route à nos représentants candidats au voyage du Japon. Une accélération fulgurante qui laissa dans le rétroviseur l'infortuné Fahd Aktaou (latéral gauche wydadi venu pourtant de la Hollande) avec service sur un plat doré à Bassim Morsi (35ème minute) et plus tard, « l'eau dans les jambes » comme on dit avec, un travail de génie (82éme minute) où il laissa à genou la tour Fall, Laâroubi et que du beau monde. 5 à 2 et donc, si ce Stanley n'était pas là, on aurait vivre quelques choses de grandiose! A propos, pourquoi nos agents de joueurs n'ont pu le dénicher et le proposer à temps à l'instance WAC, il aurait fait les beaux jours du partant Toshack et de la trésorerie wydadie.