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« Le Monde » : Une farce journalistique au service d'une propagande anti-marocaine
Publié dans Maroc Diplomatique le 26 - 08 - 2025

En tant que citoyen marocain, mon cœur bat au rythme de l'amour indéfectible pour mon Roi, Sa Majesté Mohammed VI, et pour notre nation, unie dans une harmonie sacrée. Face à l'article indigne du journal « Le Monde », qui tente de salir l'image d'un souverain visionnaire et d'un Maroc en plein essor, je ressens le devoir ardent de défendre la vérité. Ce texte, loin d'être une simple réponse, est un cri de fierté patriotique, un hommage à un Royaume qui rayonne par ses réalisations grandioses et une célébration de l'osmose éternelle entre un peuple et son guide, que nulle calomnie ne saurait ébranler.
Dans un exercice de pseudo-journalisme qui frise le ridicule et la diffamation gratuite, « Le Monde » a publié le 24 août 2025 le premier volet d'une série intitulée « L'énigme Mohammed VI », sous le titre racoleur « Au Maroc, une atmosphère de fin de règne pour Mohammed VI ». Signé par Christophe Ayad et Frédéric Bobin, cet article n'est rien d'autre qu'un ramassis de spéculations vaseuses, de rumeurs recyclées et de clichés post-coloniaux, déguisé en enquête approfondie. Plutôt que d'informer, il vise à semer le doute sur la stabilité du Maroc, un pays qui, sous le règne sage et visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, s'est imposé comme une puissance émergente en Afrique et sur la scène internationale.
Mon article démonte point par point cette mascarade, révélant un texte qui pue la malhonnêteté intellectuelle et sert peut-être des agendas hostiles, notamment ceux d'une Algérie engagée dans une guerre médiatique contre le Maroc.
Le manque de crédibilité flagrant des auteurs : Des plumes controversées et non professionnelles
Commençons par les architectes de cette bouffonnerie : Christophe Ayad et Frédéric Bobin. Ayad, ancien de « Libération » passe à « Le Monde », est connu pour ses couvertures biaisées des conflits au Moyen-Orient, où il a été accusé de manquer d'outils journalistiques adéquats pour traiter des sujets complexes comme la guerre en Libye ou les tensions israélo-palestiniennes. Des critiques l'ont pointé du doigt pour son recours à des formulations vagues et des sources anonymes, comme dans ses articles sur le jihadisme ou les relations franco-africaines, où il privilégie les narratifs sensationnalistes au détriment de faits vérifiables. Son manque de professionnalisme transparaît dans des controverses récurrentes, notamment autour de ses analyses sur l'Algérie et le Maghreb, où il semble ignorer les dynamiques locales pour favoriser des vues euro-centrées et biaisées.
Quant à Bobin, correspondant en Tunisie et au Maghreb, il s'est illustré par des articles qui frisent la complaisance envers des régimes autoritaires, comme dans ses reportages sur les tensions franco- marocaines, où il minimise les ingérences étrangères tout en amplifiant des rumeurs sur Rabat. Son travail sur l'Algérie, souvent plus nuancé et positif, soulève des questions sur son impartialité, surtout quand il blanchit des malfrats comme Mehdi Hijaouy, un escroc en fuite, dans un article de juillet 2025.
Ces deux plumes, loin d'être des modèles de déontologie, accumulent les faux pas : plagiat implicite de rumeurs, absence de sources nommées, et une tendance à recycler des clichés sans enquête terrain solide. Leur collaboration sur cet article n'est pas une coïncidence, mais un symptôme d'un journalisme paresseux qui privilégie le buzz à l'éthique.
Les dérives récurrentes du journal « Le Monde » : Un journal accusé de fake news et de partialité
« Le Monde » , autrefois pilier du journalisme français, s'est mué en machine à controverses, accusé à maintes reprises de diffuser des articles non fondés et de servir des agendas politiques. En 2019, la Russie a qualifié un de ses articles sur l'espionnage d'exemple classique de désinformation. En 2011, il a été impliqué dans une affaire de faux rapport sur la Société Générale, provoquant une panique boursière injustifiée. Des enquêtes internes ont mis en lumière des liens troubles avec des lobbies, comme dans l'affaire McKinsey-Macron en 2022, où « Le Monde » a minimisé des conflits d'intérêts tout en amplifiant des rumeurs.
En 2023, son investigation « #StoryKillers » sur les fake news a ironiquement révélé ses propres faiblesses, avec des liens à des manipulateurs d'information. Ce n'est pas la première fois que « Le Monde » cible le Maroc avec des narratifs infondés ; en 2024, il a été critiqué pour recycler des allégations anti-marocaines sans preuves, alimentant des théories conspirationnistes. Un code d'éthique interne existe depuis 2022, mais il semble n'être qu'un alibi pour masquer un journalisme partisan.
La pauvreté intellectuelle de l'article : Spéculations au lieu d'enquête
L'article est un modèle de vacuité : il s'appuie sur des « observateurs anonymes« , des « rumeurs de palais » et des interprétations littéraires de photos (un Roi soi-disant fatigué à l'Aïd opposé à un Roi sur un jet-ski), sans aucune preuve tangible. Cette juxtaposition n'est pas qu'une maladresse journalistique ; elle trahit une volonté de manipuler les perceptions en réduisant un message profond à une caricature. Car cette image du Roi Mohammed VI sur un jet-ski, rayonnant de vitalité après un moment de fatigue à l'Aïd, n'est pas une simple photo : c'est un élan, un message vibrant, un câlin adressé à chaque Marocain. C'est un Roi, père et guide, qui dit à sa nation : « Je vais mieux, soyez rassurés. » Ce geste, empreint d'une tendresse paternelle, reflète l'amour indéfectible d'un souverain pour son peuple, un peuple qui l'aime en retour et se réjouit de le voir en pleine forme, uni à lui dans une communion indissoluble.
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Pas d'interviews exclusives, pas de documents inédits, juste un collage de ragots de caniveau recyclés de posts des réseaux sociaux et d'articles passés. Des critiques le qualifient de « torchon rempli de ragots« , soulignant son absence de rigueur journalistique. Au lieu d'une enquête solide, c'est une fiction spéculative qui ignore les faits : le Maroc prospère, avec une croissance économique sous Mohammed VI qui a multiplié les infrastructures et les partenariats internationaux.
Les liaisons suspectes avec l'Algérie : Une guerre médiatique par procuration
Les liens entre « Le Monde », ses auteurs et l'Algérie ne sont pas anodins. Bobin a couvert positivement le Hirak algérien et les tensions avec le Maroc, minimisant les répressions à Alger tout en amplifiant les « crises » à Rabat. Ayad, de son côté, a écrit sur les dynamiques maghrébines avec un biais pro-algérien, notamment dans des analyses sur le Sahara Occidental.
« Le Monde » a publié des articles alarmistes sur les risques d'effondrement algérien, mais en les reliant à des critiques voilées du Maroc, servant ainsi la propagande d'Alger qui mène une « fake war » médiatique contre Rabat depuis 2021. Des rapports comme celui de MEMRI (Middle East Media Research Institute) exposent comment les médias algériens et leurs relais en France diffusent une propagande anti- marocaine, et « Le Monde » semble en être un vecteur, avec des articles qui blâment le Maroc pour les tensions régionales tout en ignorant les échecs d'Alger. Cette série de six articles pourrait bien être le fruit d'une orchestration, amplifiée par des figures pro-algériennes.
Des sujets sérieux ignorés pour du buzz anti-marocain
Pendant que le journal « Le Monde » gaspille son encre sur des spéculations marocaines sans fondement, la France s'enlise dans une tempête de crises bien réelles, ignorées par ce journal en quête de buzz. À l'horizon, la mobilisation sociale du 10 septembre 2025 menace de paralyser le pays, avec des appels à bloquer routes, ports et institutions, portés par une exaspération populaire face aux coupes budgétaires et à l'inflation galopante.
À cela s'ajoutent une vague de chaleur extrême ravageant l'Europe, avec des incendies en France et des alertes au feu ; une épidémie de chikungunya comptant 111 cas en France depuis janvier 2025 ; des débats houleux sur la climatisation et les politiques climatiques ; des tensions économiques avec des hausses de tarifs électriques et des réformes fiscales contestées ; sans oublier les négociations post-Trump sur les tarifs UE-USA et les menaces sécuritaires en Ukraine. Plutôt que d'éclairer ces urgences pressantes, Le Monde choisit le sensationnalisme bon marché, révélant un parti pris diplomatique français qui ferme les yeux sur les crises internes et l'instabilité de voisins comme l'Algérie pour s'acharner sur un allié stable et prospère comme le Maroc – une ironie qui trahit son manque de sérieux et son alignement sur des agendas douteux.
Un timing révélateur
Le timing de la publication de l'article ne relève pas du hasard : il coïncide avec un moment où l'Union européenne intensifie ses discussions pour consolider son accord commercial avec le Royaume du Maroc, intégrant explicitement les provinces du Sahara. Cette avancée diplomatique, parfaitement alignée sur la vision marocaine d'une résolution pacifique et autonome du conflit, consacre la souveraineté du Maroc et marginalise les positions archaïques de ses adversaires. Ce synchronisme trahit les gesticulations désespérées, inefficaces et mesquines de certains jaloux complexés qui, sentant le vent tourner, tentent vainement de semer le doute sur un Royaume uni et prospère, mais dont les manigances médiatiques ne font que souligner leur propre impuissance face à l'irrésistible ascension marocaine.
L'amour du Roi Mohammed VI et l'essor du Maroc : Une réalité que le journal « Le Monde » occulte
Contrairement aux fantasmes de l'article, le Roi Mohammed VI jouit d'une popularité immense au Maroc, en Afrique et dans le monde, grâce à des décisions sages, neutres et impactantes : réformes démocratiques, partenariats économiques avec l'UE et la Chine, et une diplomatie africaine qui fait du Maroc un leader continental. Sous son règne, le Maroc a connu un essor fulgurant : infrastructures modernes, croissance
inclusive, et un modèle social qui intègre tradition et progrès. Et que dire des prouesses sportives qui ont uni le monde arabe et africain ? En 2022, le Maroc est devenu la première nation africaine et arabe à atteindre les demi-finales de la Coupe du Monde au Qatar, un exploit historique qui a fait vibrer des millions, gravant le nom des Lions de l'Atlas dans les annales du football mondial.
Des scènes inoubliables ont suivi : le Roi Mohammed VI, descendant dans les rues de Rabat sans protocole rigide, fêtant la qualification en demi-finale avec le peuple, entouré de princes et de citoyens en liesse – une image de proximité et d'humilité qu'aucun voisin, d'ici ou d'ailleurs, ne peut se permettre ni même rêver, tant elle symbolise l'osmose royale avec la nation. Cette harmonie interne de la monarchie avec le peuple est palpable : une osmose historique, renforcée par des initiatives comme la réforme de la Moudawana, qui unit le Roi et le peuple dans une bayaa éternelle.
Aujourd'hui, le Maroc brille encore en organisant la Coupe d'Afrique des Nations 2025 et en co-organisant la Coupe du Monde 2030 avec l'Espagne et le Portugal – des événements qui mettent en lumière des réalisations historiques en infrastructures sportives. Des chantiers menés en temps record par des entreprises et compétences quasi exclusivement marocaines : le Grand Stade de Tanger a battu un record mondial avec l'installation de 60 poutres géantes en acier en seulement 28 jours ; le Stade Hassan II, futur plus grand stade du monde avec 115 000 places, avance à pas de géant pour être prêt en 2027 ; et des rénovations comme celles de Rabat, Fès, Marrakech et Agadir, aux standards internationaux FIFA.
Pendant ce temps, d'autres pays – voisins ou non – peinent à terminer des stades après 14 ans de chantiers interminables, aboutissant à des résultats minables et des scandales de corruption. Voilà la vraie énigme que « Le Monde » ignore : Comment un Royaume stable et visionnaire comme le Maroc transforme des rêves en réalités tangibles, tandis que ses détracteurs se noient dans l'envie et la propagande.
Un rempart de stabilité et de sécurité : l'expertise inégalable du Maroc que le journal « le Monde » ne veut jamais voir
Loin des spéculations stériles de l'article du journal Le Monde, le Maroc, sous la conduite éclairée de Sa Majesté Mohammed VI, se dresse comme un rempart de stabilité régionale grâce à l'expertise inégalable de ses services d'Etat. Ses services de renseignement, d'une efficacité redoutable, déjouent avec une précision chirurgicale les menaces terroristes, sauvant des vies bien au-delà de ses frontières, en Europe et ailleurs, là où d'autres voisins s'enlisent dans l'instabilité et les échecs retentissants. La diplomatie marocaine, brillante et visionnaire, tisse des partenariats stratégiques avec des puissances mondiales, de l'Union européenne à l'Afrique, consolidant la position du Royaume comme leader continental et acteur incontournable de la paix.
Ironie du sort, tandis que le journal Le Monde s'acharne à peindre un Maroc en déclin, il aurait mieux fait de saluer les vies sauvées grâce à l'efficacité marocaine : pas plus tard que le mois dernier, les autorités du Royaume ont arrêté plus d'une vingtaine de criminels recherchés par Interpol, dont deux complices de l'évadé Mohamed Amra, promptement extradés vers la France pour répondre de leurs actes.
Au lieu de s'égarer dans des spéculations stériles, Le Monde aurait pu consacrer ses colonnes à célébrer l'expertise inégalée des services marocains, qui, cette semaine même, ont joué un rôle décisif dans l'élimination du chef de l'organisation terroriste Boko Haram, Ibrahim Mahamadou, responsable de la mort de 40 000 personnes au Sahel. Le journal aurait également pu saluer l'efficacité remarquable du Maroc et de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, dont la médiation visionnaire a permis la libération, en décembre 2023, de quatre otages français détenus au Burkina Faso, renforçant la stature du Royaume comme acteur clé de la stabilité régionale. En préférant les ragots aux faits, Le Monde trahit son manque de rigueur et passe à côté d'une vérité éclatante : le Maroc, sous la conduite de son Roi, est un rempart contre le terrorisme et un modèle de diplomatie humanitaire.
Ces succès, salués par des partenaires comme la France, illustrent une coopération internationale anti-terroriste et anti-criminelle d'une fluidité exemplaire, contrastant cruellement avec les gesticulations médiatiques d'un journal qui, au lieu de glorifier ces exploits, préfère s'égarer dans des ragots de bas étage. Le Maroc, lui, continue de briller, pilier inébranlable face aux jalousies mesquines de ses détracteurs. L'article de « le Monde » n'est pas du journalisme, mais une attaque diplomatique voilée contre un Maroc triomphant.
Le journal « Le Monde » devrait balayer devant sa porte plutôt que de propager des mensonges qui ne trompent que les naïfs. Le Maroc, sous Mohammed VI, continue son ascension irrésistible, imperméable à ces bassesses – et le monde entier applaudit.


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