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Migration : La route marocaine abandonnée pour la Turquie ?
Julie Chaudier
Publié dans
Yabiladi
le 10 - 09 - 2015
Alors que la Hongrie et la Bulgarie montent de hauts murs pour contrer l'immigration syrienne, il n'y aurait plus que l'Espagne pour s'émouvoir des quelques milliers de migrants qui réussissent encore à atteindre ses côtes chaque année ; mais la route marocaine pour atteindre de l'Europe a-t-elle été réellement abandonnée par les migrants ?
Le passage en pateras par le détroit Gibraltar a été la voie privilégiée de l'immigration irrégulière via le Maroc pour l'Espagne dans les années 2000. © Salvamento Maritimo
En 2005, 5566 personnes parviennent à franchir les barrières Sebta et Melilla. L'opinion publique européenne est choquée et l'évènement fait date.
En 2006, la route migratoire des Canaries explose avec plus de 31 000 arrivées en un an.
En 2014, le nombre de migrants à parvenir à entrer dans les présides est supérieur aux chiffres de 2005 : 7485 dont une forte proportion de Syriens. © Jose Palazon
Entre 2006 et 2014, le nombre de migrants à atteindre l'Espagne par bateau, et via Ceuta et Melilla, s'est effondré de 69,5%. «On a assisté à l'abandon progressif de la route migratoire occidentale via le Maroc et l'Espagne au profit de la route via la Tunisie, un temps, puis la Turquie aujourd'hui », estime Mehdi Alioua. Emblématique de ce détournement, le lancement, en novembre 2014, de l'opération Triton en Méditerranée orientale a mis un terme à toutes les autres opérations du même ordre opérées par Frontex. Pour la zone Maroc-Espagne, il a signifié la fin des opérations Minerva, Indalo et Hera, à l'automne dernier. En 15 ans, les routes migratoires se sont métamorphosées.
Flashback. En 2005, la «crisis de la vallas» agite l'Espagne. Des centaines de migrants tentent simultanément de franchir les barrières de Ceuta et Melilla. Ils seront 5 566 à y parvenir. Un an plus tard, on parle cette fois en Espagne de la «crisis de los cayucos». Des centaines de petites barques – de frêles esquifs – atteignent les côtes des Iles Canaries. En un an, 31 678 personnes parviennent sur les côtes de Tenerife et Lanzarote. Ce sommet dans l'immigration irrégulière venue d'Afrique frappera les esprits pour longtemps.
Régularisations en 2000, 2001 et 2005
Il est l'aboutissement de plusieurs facteurs «En 2003, une enquête a révélé que le quart du PIB espagnol dépendrait des emplois occupés par des immigrants avec ou sans papier. La volonté de mieux contrôler la production nationale et d'obtenir de nouvelles ressources fiscales et de nouvelles cotisations à la sécurité sociale, a conduit l'Espagne à réaliser cinq phases de régularisations en 1985-1986, 1991, 1996, 2000-2001 et 2005. L'annonce des régularisations de 2000 et 2001 avait entraîné une progression de + 135 % des arrestations sur le détroit de Gibraltar », rappelle Guillaume Le Boedec, dans son article «Le détroit de Gibraltar Les limites d'un espace modèle de la lutte européenne contre les migrations irrégulières» paru en 2007 dans la revue EchoGéo.
Autrement dit, si l'Espagne attirait autant d'immigrés, c'est que sa croissance était forte : le gouvernement n'aurait pas cherché à les régulariser s'ils avaient été chômeurs. L'Espagne avait besoin de main d'œuvre. En 2000, 16 885 migrants ont été interceptés par la Guardia civil au niveau du détroit de Gibraltar (à l'exclusion de Ceuta et Melilla), et 14 405 autres l'année suivante.
«D'un côté Aznar assurait qu'il luttait contre l'immigration irrégulière, il maintenait les frontières fermées sur l'Afrique, mais quand les migrants subsahariens et marocains parvenaient à la franchir, ils bénéficiaient d'un véritable corridor jusqu'au continent. A l'époque, des migrants m'ont assuré que le CETI de Melilla (centre d'accueil ouvert des migrants) était un ''centre de l'emploi'' qui ''délivrait un diplôme'', parce que dans les faits, ''l'injonction de quitter le territoire'' qui leur était remise là-bas, leur servait de laisser-passer. Le gouvernement espagnol voulait un ''lumpenproletariat'' (ndlr : prolétariat en haillon), il voulait des personnes qui travaillent au noir parce qu'elles coûtent beaucoup moins cher qu'un salarié déclaré », explique Mehdi Alioua, sociologue, spécialiste des migrations, chercheur à l'Université Internationale de
Rabat
.
Du Détroit vers les présides
Le passage pour l'Espagne se fait dans un premier temps, dans les années 1990, par la mer, via le détroit de Gibraltar. Cette voie est très fréquentée en 2000 : 16 885 migrants sont interceptés par la Guardia civil. A partir de 2002, l'Espagne met en place le SIVE (Système Intégré de Surveillance Extérieure) basé sur des technologies de surveillance radar à Algésiras. D'année en année, l'Espagne élargit son dispositif à Tarifa et Malaga, puis Cadix et Huelva en 2004. Pendant la même période, l'Espagne adapte son appareil législatif pour pouvoir renvoyer ceux qui arrivent de façon irrégulière. Deux lois organiques adoptées en 2000 et 2001 font de la présence illégale sur le territoire une «infraction administrative grave».
Les migrants adaptent leur route. «Le verrouillage complet du détroit par le SIVE pousse les candidats à l'exil à ouvrir de nouvelles routes migratoires plus longues et plus dangereuses. Ainsi, la mise en place du SIVE avait détourné les flux migratoires vers les municipes de Grenade et d'Almeria. Depuis 2002, près de 55 % des pateras qui traversent le détroit sont interceptées dans ces provinces contre 6,6 % en 1996 », écrit Guillaume Le Boedec.
Documentaire de TVE La 2, fin 2000, sur les nombreuses arrrivées de 'pateras' sur les côtes Andalouses
Après les attentats de
Casablanca
en 2003, le Maroc, jusque-là indifférent aux migrants, se mobilise. Il vote la loi 02-03 pénalisant la résidence irrégulière au Maroc, mais aussi le fait de quitter le pays de façon irrégulière. Il commence à arrêter et refouler les migrants vers la frontière algérienne.
Dans ce contexte répressif, les enclaves de Ceuta et Melilla apparaissent peu à peu aux yeux des migrants comme un point de passage possible pour l'Europe. En 2005, 5 566 migrants parviennent à franchir les clôtures frontalières par des tentatives groupées qui vont beaucoup impressionner les médias européens. L'opinion publique est choquée. L'Espagne étend alors SIVE à Ceuta et Melilla et collabore pleinement avec le Maroc.
Journal de
France
2 du 16 octobre 2015 relatant les efforts conjoints du Maroc et de l'Espagne contre l'immigration irrégulière à Sebta et Melilla
Preuve de la bonne volonté marocaine, «en octobre 2005, le Maroc réactive la clause de réadmission, contenu dans l'accord dit de Malaga (traité de bon voisinage avec l'Espagne conclu en 1993 et qui contient une clause de réadmission). Accueillant ainsi 73 migrants d'origine subsaharienne ayant réussi à franchir le grillage de Ceuta », rappelle Hicham Rachidi, président du Gadem, groupement associatif de défense des droits des migrants au Maroc, lors d'une rencontre internationale de Migreurop sur les accords de réadmission en novembre 2009.
Des présides vers les Canaries
En parallèle, depuis le milieu des années 90, une nouvelle voie migratoire s'est ouverte qui n'existait pas du tout auparavant : les Canaries. Les premiers migrants sont interceptés en 1996. Cette route prend peu à peu de l'ampleur. Lorsqu'en 2005, les tentatives de franchissement groupées provoquent le verrouillage des frontières des deux présides, le flux de migrants semble se reporter presque mécaniquement sur les Canaries.
«Plus éloignées du détroit, de nouvelles voies migratoires par défaut ont émergé. Ainsi, en 2000, les Canaries ont enregistré 2 300 arrivées illégales, 8 500 en 2004 et plus de 31 000 en 2006. Sur les îles italiennes au large de la Tunisie 13 000 arrivées ont été comptabilisées en 2004, 23 000 en 2005 et près de 26 000 en 2006, principalement depuis la Libye. La focalisation des efforts européens sur l'Andalousie explique le détournement des flux clandestins vers ces nouvelles routes», explique Guillaume Le Boedec.
Comme pour le détroit, les présides, le ministère de l'Intérieur espagnol réagi vivement face à ce nouvel afflux par les Iles Canaries et met en place une forte surveillance en mer avec la collaboration du Maroc. Entre 2006 et 2007, le nombre de migrants à atteindre les côtes des Iles Canaries est divisé par 2,5. Pourtant, «tant qu'un pays est accueillant, au sens large, qu'un migrant a la possibilité de s'y faire une place, d'y trouver un travail, l'immigration ne cesse pas », nuance Mehdi Alioua. Pour lui, si l'immigration à destination de l'Espagne s'est réduite, c'est avant tout parce que l'Espagne avait perdu sa capacité de séduction.
De fait, entre 2006 et 2007, la croissance espagnole commence à ralentir. «Bien sûr, il faut que l'information selon laquelle l'Espagne offre moins de travail circule au sein des migrants pour qu'un flux se détourne d'une destination, c'est ce qui explique l'inertie de l'immigration», précise-t-il. En 2008, la croissance du PIB espagnol est négative, le niveau de richesse du pays se réduit brutalement, avec la crise économique mondiale. Cette année-là, plus de 14 000 migrants ont encore réussi à passer en Espagne, mais dès l'année suivante, ils ne sont plus que 8 391 et leur nombre baisse encore par la suite.
Des Marocains irréguliers en Turquie dès 2003
Alors, la route maroco-espagnole en direction de l'Europe ne séduirait plus les migrants : trop difficile, trop peu de travail à la clé en Espagne ? D'autres routes par Lampedusa, suite à la déstabilisation des Etats tunisien et libyen, puis par la Turquie, plus récemment, seraient devenues plus favorables ? Certainement, mais aucune de ces routes n'est apparue soudainement en 2006, ou 2007, alors que le flux passant par le Maroc et l'Espagne se réduisait. Les migrants empruntent des voies ouvertes par d'autres et fréquentées depuis longtemps.
Dans son article «Les migrations irrégulières en Turquie» paru en 2003, Mustafa Mutluer rapporte déjà que «La Turquie, elle-même pays d'émigration, est devenue un pays de transit important pour ces migrations clandestines en direction de l'Europe, en provenance en particulier de l'Asie centrale (
Afghanistan
) et du Moyen-Orient (Irak). À son tour, devenue plaque tournante de ces flux, elle retient un nombre non négligeable de migrants irréguliers. Ces dernières années, au moins 100 000 migrants clandestins ont été appréhendés, soit au passage des frontières, soit lors de contrôle de police sur le territoire. » A l'époque, déjà, derrière les Iraniens, Palestiniens et Afghans qui passent par la Turquie de façon irrégulière, on trouve des Nigérians, Kenyans, Algériens, Tunisiens et Marocains…
Mellila et Ceuta : + 177% d'immigration irrégulière en 3 ans
«Les deux routes [marocaine et turque, ndlr] sont complémentaires et non rivales», insiste Alain Tarrius. La route marocaine n'a jamais été fermée. Le nombre de personnes arrêtées pendant leur passage s'est globalement stabilisé autour de 3 000 ou 4 000, selon le ministère de l'Intérieur espagnol, depuis 2008. Seule la route des Canaries semble avoir été presque totalement abandonnée. Les deux enclaves et en particulier Melilla connaissent au contraire un regain d'intérêt depuis 2012. A cette date 2 841 migrants avaient réussi à entrer, contre 7 485 l'an dernier.
La guerre en Syrie explique presque la moitié du chiffre : 3 300 Syriens sont entrés de façon irrégulière en 2014, alors qu'aucun d'eux n'avaient été recensés par l'Espagne l'année précédente. En 2014, des 'dysfonctionnements' du côté marocain, reconnu par le ministre de l'Intérieur, Mohamed Hassad, ont également permis à plusieurs centaines de migrants d'atteindre, en l'espace de deux jours, les côtes de l'Andalousie.
Reportage de la RTVE sur cette arrivée soudaine de plusieurs centaines de migrants dans des pateras le 11 août 2014
La reprise de la croissance espagnole peut être également un élément d'explication. Elle était de 1,4% en 2014 permettant la création de 205 000 emplois et devrait être de 2,8% en 2015. «Les gens sur place, les anciens migrants, peuvent à tout moment appeler leur famille restée au pays pour indiquer que c'est le moment de faire venir un cousin, un frère… Ce qui alimente la migration, c'est les migrations», conclut Mehdi Alioua.
Pour Ceuta et Melilla, il manque des données pour les années 2000, 2002 et 2003.
Migration irrégulière par les visas
Si les passages irréguliers aux frontières frappent les esprits, rendent visible l'immigration et mettent en danger la vie des migrants, elles ne sont pas la principale origine de l'immigration en général, ni même de l'immigration irrégulière. Partout, la première source d'immigration irrégulière ce sont les visas périmés. Des personnes qui arrivent le plus légalement du monde dans un pays, grâce à un visa. Ils deviennent des 'sans papiers' quand celui-ci est périmé mais qu'ils continuent à vivre dans ce pays. Lire, à ce titre, l'analyse intéressante du quotidien national espagnol El Pais : ICI
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