La Commission des stupéfiants des Nations unies a officialisé, à compter du 1er janvier 2026, la liste des cinquante-trois pays appelés à siéger. Le rapport, dévoilé mercredi 17 septembre, indique que «le mandat de quatre ans arrivera à échéance le 31 décembre de l'année précisée». Source : UNODC Le document met en évidence la présence du Maroc, dont le mandat court jusqu'en 2027. Aux côtés de Rabat, figurent notamment «l'Argentine, l'Arménie, l'Australie, l'Autriche, la Belgique, l'Etat plurinational de Bolivie, le Burkina Faso, le Burundi, le Chili, la Chine, la Colombie, la Côte d'Ivoire, la République dominicaine, la France, la Finlande, l'Allemagne, le Ghana, le Guatemala, le Honduras, la Hongrie, l'Inde, l'Indonésie, l'Italie, le Japon, le Kazakhstan, le Kenya, le Kirghizistan, la Lituanie, Malte, la Mauritanie, le Mexique, le Royaume des Pays-Bas, le Nigéria, le Pakistan, le Pérou, la Pologne, le Portugal, le Qatar, Singapour, la Slovénie, l'Afrique du Sud, l'Espagne, la Suisse, la Thaïlande, Trinité-et-Tobago, l'Ukraine, les Emirats arabes unis, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, la République-Unie de Tanzanie, les Etats-Unis d'Amérique, l'Uruguay et le Zimbabwe.» La désignation du Maroc confirme, selon le texte, son rôle au sein des organes onusiens dans la gouvernance des politiques internationales relatives aux stupéfiants. Des mandats différenciés selon les échéances La Commission se compose de mandats échelonnés. Le rapport souligne que «certains Etats, dont le Maroc, verront leur mandat expirer en 2027, tandis que d'autres siègeront jusqu'en 2029». Le système de rotation offre une stabilité institutionnelle tout en assurant un renouvellement périodique. Le document rappelle que «les élections pour un mandat débutant le 1er janvier 2026 se sont déroulées le 4 avril 2025 au Conseil économique et social.»