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7 Avril : journée mondiale de la santé : Une bonne santé pour mieux vieillir
Publié dans Albayane le 11 - 04 - 2012

Au cours des 5 prochaines années, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, le nombre de personnes âgées de plus de 65 ans dépassera celui des enfants de moins de 5 ans. Le vieillissement de la population est l'une des plus importantes transformations de la société. Il pose de nombreux défis, c'est pourquoi, l'OMS consacre la Journée mondiale de la Santé du 7 avril 2012au thème de la santé et du vieillissement. Car pour vivre longtemps en bonne santé, il faut prendre soin de sa santé dès aujourd'hui.Le sens profond de la journée mondiale de la santé
A l'instar des pays de la planète, le Maroc célèbre ce Samedi 7 Avril 2012 la journée mondiale de la santé. Le thème retenu cette année pour célébrer cet événement planétaire que représente la Journée mondiale de la Santé est ‘'le vieillissement et la santé‘'. C'est une très belle initiative, mais il n'en demeure pas moins vrai que cet événement important dans l'histoire de l'humanité auquel on accorde une très grande importance est très bien perçu au niveau des pays développés où le vieillissement et qualité de vie sont intimement liés. Dans ces pays, cette journée mondiale de la santé est célébrée avec beaucoup d'éclat par les différentes instances en charge des personnes âgées, car le vieillissement est un processus naturel dans le parcours de la vie de tous les individus. Le vieillissement nous concerne tous, les jeunes d'aujourd'hui seront vieux demain et ainsi de suite Célébrer la journée mondiale de la santé n'est pas un fait anodin, ce n'est pas non plus une date parmi tant d'autres. Chaque thème revêt une signification particulière, son choix est murement réfléchi, il découle d'une situation qui interpelle, d'un problème réel de santé qui touche les individus souvent en situation de précarité. Le vieillissement et la santé sont un sujet qui nous concerne tous. Mais avec un slogan, «Une bonne santé pour mieux vieillir», la campagne veut montrer comment les personnes âgées en bonne santé peuvent s'épanouir et jouer un rôle actif au sein de leur famille et de leur communauté. Depuis un siècle, l'espérance de vie a augmenté de façon spectaculaire et le monde comptera bientôt plus de personnes âgées que d'enfants. Partout, les populations vieillissent mais c'est dans les pays en développement que les changements sont les plus rapides. Cette transformation sociale représente à la fois des défis et des opportunités. Certains pays n'auront peut-être pas plus d'une génération pour préparer leurs systèmes sanitaires et sociaux à ce vieillissement. Qu'en est du vieillissement au Maroc ?
Quel est l'état des lieux ?
Qu'avons-nous préparé pour les personnes âgées ?
Quelle prise en charge pour les personnes âgées ?
Faut-il adapter l'offre de soins aux nouveaux besoins de santé qu'impose le vieillissement de notre population ?
Quelles seront les conséquences du vieillissement sur les dépenses de santé ?
Le vieillissement de la population au Maroc
La proportion des personnes âgées ne représente aujourd'hui que 7% de la population, le problème ne se posera réellement que dans les années à venir lorsque leur nombre augmentera et passera à 11,1% en 2020 et à 20% en l'an 2040. Cela veut dire que le nombre des personnes âgées atteindra près de 6 millions et serait presque similaire à celui des jeunes en 2050. Cette situation est amplement expliquée par la baisse importante qui affecte depuis quelques années le taux de natalité, l'indice synthétique de fécondité a connu une baisse très indicative, il a évolué de 7,1 en 1960, à 4 en 1992, à 3,3 en 1994 et à 2, 3 en 2010 Cette baisse importante de l'indice de fécondité couplée à l'augmentation de l'espérance de vie montre que le pays traverse une transition démographique. L'espérance de vie est plus grande, plus longue. Les Marocains vivent plus longtemps (73 ans pour les hommes 78 pour les femmes et même plus) Si on a toutes les bonnes raisons de nous réjouir, il ne faut pas occulter pour autant quelques problèmes inhérents à l'âge, car plus on vieillit plus on tombe malade. Ce qui en toute bonne logique signifie que l'amélioration de l'espérance de vie sera un défi pour notre système de santé durant les prochaines décennies , surtout que les spécialistes prévoient une espérance de vie de 80 ans en 2040. Qui dit vieillissement de la population dit maladies liées au 3ème âge (HTA-cardiovasculaires- cancers – diabète, maladies rénales – neurologiques – mentales …)
Plus une personne vieillit, plus elle a des besoins spécifiques, qui doivent être comblés par des professionnels de santé qualifiés au niveau de structures adaptées.Qu'avons-nous préparé aujourd'hui pour ces personnes âgées ?
Que signifie vieillissement de la population ?
Le vieillissement est l'effet général du temps sur un organisme biologique. C'est un processus lent et progressif qui conduit à une diminution des réserves fonctionnelles au niveau de la plupart des systèmes physiologiques entrainant une vulnérabilité à de nombreuses maladies .Les personnes âgées ne vieillissent pas toutes de la même manière, certaines personnes garderont un bon état de santé jusqu'à un âge très avancé, alors que d'autres subiront l'effet des maladies chroniques et évolueront vers la dépendance fonctionnelle ou un décès rapide . C'est la loi de la nature, l'homme est né pour mourir, mais dans le cheminement de la vie qui est parsemée de tant de belles choses, mais aussi des mauvaises, l'homme ne pense jamais au vieillissement. Il faut parfois ignorer certains aspects négatifs pour ne garder que ce qui peut nous inciter à espérer et à mordre à plein dents dans la vie qui vaut la peine d'être vécue. Je me suis laissé aller, je philosophe un peu, veuillez m'en excuser.S'agissant du vieillissement de la population, celui – ci est une notion récente qui désigne une modification progressive de la pyramide des âges se caractérisant par une augmentation de la proportion des âges élevés et une diminution concomitante du poids relatif des âges jeunes.Historiquement, le premier facteur en cause a été la diminution de la fécondité qui a été initiée au Maroc par l'introduction des méthodes contraceptives (planification familiale) dans les années 60 et ensuite, le recul de la mortalité, à partir du moment où les progrès de la médecine ont bénéficié surtout aux plus âgés. Or ce vieillissement prévu et prévisible aura un impact sur de nombreuses politiques, de la planification des besoins de soins de santé, personnels spécialisés dans l'aide , d'infrastructures adaptées, en passant par les dépenses de l'assurance maladie obligatoire, la CNSS, la CNOPS, la CMR, la CIMR…
Etre vieux au Maroc
Mais quoique l'on dise, quoique l'on pense, être vieux n'est ni une tare, ni un handicap, c'est le cheminement normal de tout être humain. Dans les sociétés dites développées, modernes, les personnes âgées (65 ans et plus) sont très souvent marginalisées, placées dans des maisons de retraite ou des institutions pour personnes du 3ème âge, où ces personnes passent le restant de leur vie dans un cadre agréable, loin du bruit, du stress jusqu'au jour ou elles décèdent. Nous sommes loin de ce scénario au Maroc car ce genre d'établissements n'existent pas et les quelques maisons pour personnes âgées que l'on trouve ici et là (Ain–chock –Tit Méllil – Ain Atik...) sont des lieux sordides comme nous l'on montré les différents reportages TV qui ont consacré plusieurs émissions à ce sujet.Nos vieux, les plus chanceux restent au sein de leur famille jusqu'au dernier jour de leur existence, cette solidarité familiale bien particulière, nous réchauffe le cœur, qui sait car nous aussi demain…
Mais pour les autres, celles et ceux qui vivent dans la précarité, dans le dénuement, dans la misère. Ceux qui n'ont pas de famille ou qui ont été rejetés. Ceux qui se retrouvent dans la rue et croyez – moi ils sont nombreux les pauvres.
Se pose alors le problème de la prise en charge de ces personnes, en milieu spécialisé, adapté.
Qu'avons-nous préparé aujourd'hui pour ces personnes âgées ?
Avons-nous une stratégie ?
Les responsables, les gestionnaires ont-ils préparé quelque chose ?
Allons – nous attendre jusqu'au jour où le problème de la prise en charge des personnes âgées nous tombera sur la tête ?
La réponse à ces questions tout le monde la connaît, et il ne sert à rien d'esquiver. Il faut dire les choses telles qu'elles se présentent. Notre pays n'est pas préparé pour assurer à cette population une prise en charge spécifique, adaptée à leur état de santé, à leurs besoins qui seront surtout marqués par des maladies chroniques, invalidantes... Le Maroc est tenu à l'instar des autres pays qui ont une grande expérience dans la prise en charge des personnes âgées à adapter son offre de soins en matière de services et d'infrastructures sanitaires aux particularités physique , psychologique et sociale de cette catégorie de la population afin de lui assurer l'accès à des soins de santé de qualité et de répondre de façon optimale à ses besoins de soins spécifiques et sans cesse en augmentation.
A quand une filière de soins en gériatrie ?
Mon expérience au sein des établissements hospitaliers, m'a permis tout au long des nombreuses années que j'ai passées à soigner nos concitoyens malades, de constater que les personnes âgées constituaient une catégorie importante des usagers des différents services hospitaliers. Si tous les soins destinés à ces patients ont toujours été réalisé conformément aux critères de rigueurs indispensables aux soins de qualité, il n'en demeure pas moins vrai que l'amélioration de la prise en charge sanitaire des personnes âgées requière au préalable la structuration et l'organisation d'une filière de soins spécialisée englobant tous les éléments de la démarche de prise en charge depuis les activités de dépistage , le traitement et le suivi des pathologies courantes ainsi que la prise en charge des épisodes aigues , les soins de réadaptation , le soutien , l'écoute et l'accompagnement des malades âgés en fin de vie . Tout cela n'existe pas aujourd'hui. Ce qui serait sage, c'est de pouvoir individualiser une filière de soins spécialisée gériatrique pour nos concitoyens malades âgés. L'amélioration de la prise en charge des personnes malades âgées doit relever d'une approche purement hospitalière et surtout pas d'une insertion du malade dans une maison de personnes âgées qui est souvent synonyme d'une mort lente. Grace à une politique construite autour de la personne malade âgée aux besoins spécifiques et à un large consensus qui impliquera tous les intervenants, nous pourront relever le défi de la prise en charge des personnes âgées tant médical, social et économique.
Qu'est ce que la gériatrie ?
La gériatrie est une branche de la médecine qui étudie la santé des personnes âgées. Elle est donc une des sciences qui composent la gérontologie, car la santé des personnes âgées est influencée par leur vieillissement bien sûr, mais aussi et surtout par les maladies qui les touchent et leurs conséquences fonctionnelles. Les facteurs sociaux et psychologiques ont aussi une grande influence sur la santé des personnes âgées. D'une façon générale, les patients gériatriques sont caractérisés par leur fragilité ou leur vulnérabilité qui les expose à un risque d'évolution défavorable (hospitalisation, entrée en institution, décès) face à des agressions diverses que les adultes plus jeunes vigoureux” surmontent plus facilement. La gériatrie est dans de nombreux pays développés une spécialité médicale. Mais, malheureusement, ce n'est pas le cas dans notre pays. Et c'est pour cela que certains patients âgés aux tares multiples telles que le diabète, l'hypertension artérielle ainsi que plusieurs autres maladies ne trouvent leur place dans aucun service. Leur prise en charge nécessite le plus souvent des équipes multidisciplinaires ou tout simplement un service où il y aurait une prise en charge spécialisée, autrement dit des centres où des médecins peuvent gérer toutes les tares en même temps.
Le drame des personnes âgées
Parfois, ces malades n'ont pas de famille ou bien leurs familles si elles existent les négligent et on peut trouver des personnes âgées relativement en bonne santé mais qui ont d'autres besoins (manger, éliminer, se mouvoir, se recréer, parler…) qui sont hospitalisés dans des services pendant 6 mois et même bien plus. Ce n'est pas une vue de l'esprit, mais bel et bien une réalité que nous devons regarder bien en face. Dans bien des cas c'est l'ambulance de la protection civile qui transporte ces pauvres créatures affaiblies, déshydratées, et qui les dépose à l'hôpital. Face à cette réalité, l'hôpital les prend en charge, mais ce n'est pas la solution. Cette situation est quotidiennement vécue au niveau des services de médecine, de chirurgie, d'orthopédie, de réanimation. Il faut absolument construire des services dédiés à la gériatrie, ce n'est pas un luxe ou des dépenses inutiles, bien au contraire, c'est une nécessité. Personnellement, je ne comprends pas que l'on puisse aujourd'hui construire des centres de santé qui restent fermés au moment où nous avons un réel besoin de structures qui nous font cruellement défaut. Nous devons dès à présent penser à construire des centres de gériatrie qui sont des structures adaptées à cette tranche de la population dont le nombre ne cessera de croître. Il conviendra aussi de former des professionnels de santé spécialisés dans ce type de prise en charge (gériatre, infirmière, aidant, psychologue, assistante sociale…)
En conclusion, il est de mon devoir de vous inviter tous à réfléchir sur les moyens a mettre en place pour venir en aide aux personnes âgées malades.
Quand je vois l'intérêt et les soins que portent certains à leurs chiens, à leurs chats, aux dépenses inhérentes à l'entretien de ces animaux, j'ai une pensée sincères pour les individus qui souffrent dans l'indifférence.
Nous devons cultiver en chacun de nous l'amour d'autrui qui est un des fondements de notre culture, nous sommes connus à travers le monde pour être des personnes accueillantes, hospitalières, souriantes, alors soyons les dignes représentants de cette réalité Nous devons aider ceux qui sont dans le besoin, nous devons assister ceux qui souffrent, avec générosité et bienveillance, cela ne demande pas grand-chose, cela passe souvent par des actes très simples, une écoute attentive, un geste amical ou toute autre marque de soutien… On peut donc aider les autres par toutes sortes de moyens, quelques Dirhams par ci, par là, des actes, des paroles, mais également par sa seule pensée et intention. Par exemple, le fait de cultiver en soi la volonté de faire du bien aux autres, ou avoir l'intention ferme de les aider, a déjà un effet positif sur les autres et sur soi-même, même si on ne trouve pas l'occasion de passer à l'acte.
D'ici là portez – vous bien et ayez une pensée pour les personnes âgées malades.


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