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Les Hommes de l’Année 2005
Publié dans GoAgadir le 21 - 05 - 2006

Conviction et professionnalisme dans la conduite du développement touristique.
Dans l'objectif de rendre hommage aux actions bénéfiques déployées durant toute une...
...année pour la concrétisation d'un vrai développement économique régional, à travers le tourisme, nous avons choisi quatre principaux acteurs comme Hommes de l'année 2005. Ce choix, ne peut être que subjectif, comme toute réflexion humaine, et tout travail journalistique qui se respecte. En effet, un journaliste doit être honnête dans son travail, doit respecter la déontologie professionnelle, respecter ses lecteurs en faisant le nécessaire pour ne jamais les induire en erreur, mais ne peut en aucun cas se prévaloir d'être objectif dans le traitement de son travail, surtout lorsqu'il fait du journalisme engagé son lot quotidien.
- L'Homme de l'année : Région Souss Massa Draâ.
Ceci dit, nous commençons par l'Homme de l'année 2005, d'abord dans le domaine de la gestion de la première institution élue régionale. A tout seigneur tout honneur. Pour le Conseil de la Région Souss Massa Drâa, l'Homme de l'année 2005 est incontestablement son président, Aziz Akhannouch. L'année 2005 aura connu la concrétisation de bien de projets à caractère économique et principalement touristique. Pour quoi le tourisme diriez-vous ? Tout simplement parce qu'il le vecteur économique d'excellence dans la région. Ainsi lors que le tourisme va, tout va, non seulement au niveau de la capitale du tourisme balnéaire, Agadir, mais aussi à travers toutes les villes avoisinantes, et dans l'arrière-pays. Non seulement dans le secteur du tourisme mais dans les autres secteurs ( agriculture, pêche, services, commerce, etc ; l'effet multiplicateur économique du tourisme est vraiment grandiose).
L'apport du président du Conseil de la RSMD dans le développement régional, depuis son élection est d'une grande valeur que seuls les vrais initiés et connaisseurs savent juger à sa juste valeur. La stratégie socio-économique régionale se concrétise sur le terrain, prend de plus en plus forme ( tourisme, partenariat international, activités sociales, dynamisation de l'économie, transport aérien… l'heure n'est pas encore au bilan définitif mais de très bonnes choses ont été réalisées, on y reviendra d'ailleurs en détails, prochainement).
Reconnaître que Aziz Akhannouch à la tête des Hommes de l'année 2005, à Agadir est notre manière de soutenir et d'encourager l'homme à persévérer dans le bon chemin qu'il s'est tracé. Parfois, les résultats tardent à venir ou alors ils sont mal perçus par les autres, mais là est le grand problème de la gestion partagée des institutions élues. Le déphase est énorme entre ceux qui veulent faire et qui savent faire et ceux qui ne savent ni faire, ni laisser les autres faire, jouant aux troubles fêtes dans une manie politique-politicienne absurde et inculte.
Discret, humble, profondément convaincu de sa noble mission, grand manager, excellent chef d'équipe, Aziz Akhannouch œuvre sans relâche dans le développement réel de la Région. Son implication a marqué un réel tournant, un vrai cycle de développement selon des normes pragmatiques, conduites avec une réflexion soutenue qui se démarque de toute gestion démagogique ou intéressée. C'est à son honneur et à l'honneur de l'éducation nationaliste qu'il avait reçue de son défunt père Ahmad OulHaj, l'un des grands nationalistes du Souss. Allez-y président, vous êtes la fierté du Souss Moderne, celui qui cadre merveilleusement bien avec le concept du Nouveau Maroc pour lequel vous œuvrer à fonds. Très bon courage et très bonne continuation.
- L'homme de l'année : gestion touristique associative.
Le deuxième acteur que nous avons choisi pour figurer parmi les hommes qui ont marqué le déroulement des événements en 2005, n'est autre que le président du CRT, Said Scally. Armé de son professionnalisme, de son expérience, de ce qu'il sait bien faire, à savoir le développement de son entreprise de transport touristique, de réceptif et d'agence de voyage, il même depuis son élection à la tête du CRT, avec une conviction et une détermination sans faille, une nouvelle approche de développement touristique qui donne des résultants très positifs. Le dernier en date est la participation promotionnelle, pour la première foire avec un stand régional, dans un salon touristique international, au WTM Londres Novembre 2005, Une participation qui fera date dans les annales touristiques nationales.
Là aussi, le professionnalisme, la conviction de participer au développement de sa région est manifeste chez Said Scally. Très connu par son franc parler, ses remarques pertinentes et fracassantes, il a malheureusement toujours raison ( ou du moins dans la grande majorité des cas) comme disent les gens qui le connaissent bien et qui le voient à l'œuvre au quotidien. Avec sa présidence du CRT, c'est un autre tournant qu'a pris cette association professionnelle qui commence à s'imposer en tant que vrai interlocuteur professionnel, valable, respectable, crédible, engagé et disposé à pousser pour le développement du tourisme tout azimut. Une audience qui dépasse le cadre régional pour devenir une référence, en matière de gestion des CRT, à l'échelon national. En parlant justement du tourisme, dans son volet hôtellerie, agences de voyages et restauration, on ne peut s'empêcher de réaffirmer ce que nous avons toujours écrit sur ces colonnes mêmes depuis plusieurs années et à maintes reprises. Les professionnels gadiris sont très bons, voire excellents, pris individuellement, chacun dans son secteur de compétence. Sans aucune exagération, ils sont mêmes, parmi les meilleurs professionnels du secteur à l'échelon national, sinon les meilleurs de tous. Ce qui a toujours manqué à nos professionnels gadiris, est une vraie dynamique de groupe au sein d'une institution qui reflète à la fois leurs ambitions, qui mette en relief leurs problématiques, qui surtout s'investit dans la solution de problèmes spécifiques : transport aérien, promotion régionale, développement des marchés émetteurs etc…
Notre combat en parfaite synergie avec les professionnels, mené pour un changement démocratique au sein de l'ex-Grit, s'inscrivait dans cette optique de doter Agadir d'une bonne dynamique de groupe, seule capable de faire avancer les choses. C'est dans cet esprit que Said Scally est entrain de mettre au point tout un riche programme qui va dans ce sens et dans certains chapitres ont bel et bien commencé. En tant que professionnel de terrain, il ne se permet jamais d'exclure les autres professionnels, ni de ne pas tenir compte de leurs avis et de ne pas les consulter. C'est le cas avec l'AIH, l'ARATAS, tout particulièrement. Notre choix sur l'Homme de 2005, vu sous l'angle gestion touristique associative, celle du CRT en l'occurrence, est amplement mérité et nous paraît difficilement contestable. L'homme concrétise officiellement et plus intelligemment, en tant que président du CRT, le combat pour le développement touristique à Agadir et ce depuis que nous avons fait sa connaissance en 1980. Vas-y Said, tu as sur la bonne trajectoire, tu n'as pas encore atteint ta vitesse de croisière. Nous sommes là avec les professionnels pour te soutenir à y parvenir. Très bonne continuation.
En parlant du président Akhannouch et du président Scally, on ne peut s'empêcher de rappeler que dans un cas comme dans l'autre, nous avons face à des hommes d'affaires très professionnels chacun dans son domaine qui n'hésitent jamais un seul instant à mettre leur savoir faire, leurs connaissances, leurs équipes, leurs biens matériels au service du développement régional. Ils sont là, d'abord pour donner, pour améliorer, pour corriger, pour faire avancer. Ils n'attendent rien au retour. Leur seul plaisir est de servir le pays, de participer d'une manière citoyenne noble au développement socio-économique de leur région et par là du pays. Autrement, ils étaient très bien là où ils étaient et ne réclamaient rien et à personne.
Leur implication actuelle, chacun dans son action de responsabilité, se fait bien souvent au détriment de la gestion de leurs affaires privées. Monsieur tout le monde ne le sait pas. Nous tenons à le souligner pour leur rendre doublement hommage et saluer la synergie exceptionnelle qui les unit formant avec le Wali de la Région Rachid Filali et avec Tarek Kabbage, président du Conseil Urbain d'Agadir, une vraie équipe de travail qui est entrain de faire du beau travail qui n'aura rien à envier au grande destination touristique internationale, au point de vue infrastructures, urbanisme, loisirs, zones de verdure … L'équipe d'Agadir est souvent citée comme un bon exemple, elle l'est effectivement, comme l'exemple qui réunit Autorités, élus et professionnels dans l'objectif d'assurer le développement et la mise à niveau touristique dont le pays à besoin. Gardez-le cap, messieurs, vous êtes sur la bonne voie. Le tourisme et son développement ont grandement besoin de votre synergie et de votre dynamisme.
- L'homme de l'année : investissement touristique.
Il est imbattable, inégalable, dans le domaine de l'investissement touristique à Agadir. La ville lui doit beaucoup, en matière de création d'emplois, de réalisations d'infrastructures hôtelières et de loisirs. Le pays lui doit beaucoup également en matière de transport touristique terrestre et tout récemment en matière de transport aérien avec la création de la première compagnie low-cost privée : Jet4you. L'homme de l'année 2005, en matière d'investissement touristique est incontestablement le grand professionnel, Guy Marrache.
Deux hôtels simultanément en construction : le Robinson et l'Oumnia Beach. Un golf 36 trous ( première réalisation du genre dans le pays) : le Golf du Soleil avec un projet de 50 suites en construction sur le site du Golf. La compagnie aérienne privée low cost vient boucler la boucle, en matière d'investissement touristique, lance en grand partenariat avec le premier TO allemand TUI. Avec son éternel associé B.Taarji, Guy Marrache a marqué avec des lettres de noblesse l'investissement touristique à Agadir mais qui fait la fierté du tourisme national. Disponible, engagé, clair dans son approche commerciale et marketing, il n'hésite jamais à rendre service lors qu'il le peut et à prodiguer ses conseils professionnels enrichissants lorsque les occasions se présentent pour le faire. Nous lui rendons une fois encore un vibrant hommage pour tout ce qu'il a fait mais aussi pour tout ce qu'il va faire encore pour le développement du tourisme. Très Bon courage Guy.
- L'homme de l'année 2005 : Hôtellerie.
Il n'a pas encore bouclé sa deuxième année à Agadir. Il le fera au mois de juillet prochain. S'il y a quelqu'un qui a défrayé la chronique, mais dans le sens le plus positif de l'expression, depuis sa nomination à le direction de l'hôtel Sofitel, c'est bien Hamid Bentathar. Jeune professionnel, avec une très bonne expérience dans la grande école du groupe Accor, passionné de son pays le Maroc et de sa culture ( il n'est pas du tout tunisien comme laissent entendre certaines personnes très mal informées), Hamid est doté d'un dynamisme professionnel en hôtellerie, hors pair.
Sa nomination à Agadir, a apporté un souffle nouveau, un système managerial moderne de terrain. Il fait un avec les membres se son équipe, formée par des jeunes et moins jeunes encore que lui. Face à eux, on voit se concrétiser une gestion à l'opposée du système standard en hôtellerie qui fait coincer chacun dans son carré prédéfini et inchangeable. Au Sofitel, pas de directeur, ni de chefs de services ou de départements cravatés, stressés et constipés. Tout le monde porte une tenue blanche issue droit du patrimoine traditionnel vestimentaire national mais vraiment zen.
D'ailleurs l'esprit Zen domine toute l'ambiance de l'établissement, à commencer par le grand hôtel de réception, espace où se rejoignent sympathie, accueil, thé à la menthe sous le rythme gnaoua. Hamid Bentahar concrétise également la nouvelle génération de directeurs d'hôtels, des managers qui font un avec leur personnel, polyvalent, présent partout : dans les cuisines, à l'accueil, au service, à la plage… Bref, l'essentiel pour lui et pour son équipe est de veiller à la satisfaction du client. Faire des prestations hôtelières un service à part entière qui ne doit pas souffrir de défaillances. Faire de l'établissement d'hébergement un endroit où le client se sent à l'aise où il passe un séjour agréable avec des souvenirs agréables.
Hamid a vraiment apporté du sang neuf à la gestion en hôtellerie à Agadir. Sa nouvelle approche de travail n'est pas comprise par l'ancienne génération habituée à des standards immuables. Hamid est vraiment de l'anticonformisme mais pas n'importe lequel. Un anticonformisme intelligent au service de la cause du développement du tourisme, de l'amélioration permanent de l'accueil, du tourisme dans son sens noble qui vise d'abord l'épanouissement culturel, physique et psychologique du client grâce à un bon contact avec la culture du pays et de ses habitants. Tu es bon ainsi, continue à faire ce que tu sais bien faire, avec passion et dévouement. Très bonne continuation.
Cet exercice de désigner les hommes de l'année auquel se prête tous les médias est en fait un geste de reconnaissance et d'hommage réel, sincère, désintéressé mais combien important pour la communauté des observateurs avertis que sont les journalistes de terrain qui vivent dans la proximité de certains décideurs et qu'ils voient à l'œuvre. Agadir est connu pour son soleil et sa plage. Deux éléments qui forment le capital principal de la destination. Les professionnels gadiris, tout secteur touristique confondu, sont également le grand capital du tourisme local et du tourisme national.
C'est dans ce cadre que nous tenons un rendre, en cette occasion un vibrant hommage à de grands professionnels qui ont fait du beau travail à Agadir. C'est le cas de Lahcen Oussaâdi, de Abdelhadi Alami, de Jamal Baâmrani, de Feu Med Belaghmi, de Feu Hj Yahia, entre autres… mais également à d anciens professionnels qui exercent toujours dans la discrétion et l'efficacité tel Mustapha du Jazz ( l'un des grands restaurateurs, sinon le grand de tous). Pour conclure, on dira que ce sont les hommes qui font les institutions et non l'inverse. Si le Souss a su brillé dans de nombreux domaines, commerce, affaires, agriculture et tourisme, c'est grâce à la qualité de ses hommes. Des hommes qui allient discrétion, efficacité, pragmatisme, savoir faire, amour de la région et du pays. Bref de grands entrepreneurs qui finissent pratiquement toujours à bien réussir. Un seul regret tout de même, le volet culturel est vraiment l'enfant pauvre à Agadir, il va falloir rattraper cet énorme retard. Là aussi c'est question d'hommes car les moyens existent bel et bien.


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